Le régime au pouvoir en Algérie, ou le « régime des généraux, » est de plus en plus sous le feu des projecteurs pour ses agissements cruels et inhumains envers les migrants africains cherchant à traverser le territoire algérien dans l’espoir d’atteindre l’Europe.
Ce régime semble ignorer totalement les notions les plus élémentaires des droits de l’homme et de la moralité. Les droits fondamentaux et la miséricorde envers les voyageurs et les migrants, recommandés par le prophète, semblent être absents de leur vocabulaire. Ils ont transformé l’Algérie en un lieu de débauche et de trafic de drogue, tout en offrant refuge à des groupes séparatistes qui sèment le chaos et la mort dans la région.
Les citoyens, quant à eux, sont maintenus dans un état de soumission et d’humiliation, se contentant des miettes jetées par les généraux au pouvoir. Ce régime ne respecte ni la foi, ni la morale, ni les engagements, créant un environnement de peur et d’oppression.
Le sort des migrants africains, venant principalement d’Afrique subsaharienne, est tout aussi préoccupant. Après avoir été maltraités par les agents du régime algérien, quelque 750 migrants ont été abandonnés aux frontières algéro-nigériennes, dépouillés de leurs biens, de leurs vêtements et de leurs chaussures, ainsi que de leur nourriture. Les gardes-frontières algériens les ont laissés sans ressources, à l’exception de leurs sous-vêtements, blessés, marqués de contusions et ayant subi des fractures aux mains et aux pieds, sans aucune pitié ni compassion.
Ces actes inhumains, bien que choquants, ne sont malheureusement pas isolés. Ils s’ajoutent à une liste croissante d’abus et d’atrocités commis par le régime des généraux, laissant les observateurs choqués par le mépris total de la dignité humaine.
Le régime des généraux, semblant être insensible à la réprobation internationale, se trouve de plus en plus sous le feu des critiques pour ses actes cruels, et cela soulève des questions profondes sur la situation des droits de l’homme en Algérie.