Il y a un proverbe qui dit « On récolte ce que l’on sème » et « Tout ce qui part finit par revenir ! ». En effet, le général Tawfiq a été le premier à être appelé le « seigneur de Dzair » en raison de son autorité, de sa puissance, de sa capacité à torturer des gens et à les tuer de sang-froid. Il a tué des milliers d’Algériens de toutes les classes, du pauvre au président de la République et il disait et se vantait en disant qu’une fourmi en Algérie ne peut se déplacer qu’avec son autorisation …Mais, les jours passèrent et le temps change.
Mais après l’assassinat du général Gaid Salah, qui avait l’habitude de traiter le général Toufik et ses collègues avec un traitement spécial et leur avait fournit tout ce dont ils avaient besoin, « le seigneur du Dzair » s’est retrouvé dans une pièce sombre et secrète sous le siège de la Direction centrale de la sécurité de l’armée seul avec le colonel Boubaker, El-Ouanes et le colonel Abdelwahab et qui l’ont accroché de ses mains pour passer les pires heures de sa vie dans une prison secrète de torture du « département du renseignement et de la sécurité », les services secrets algériens gérer par le régime criminel avec des personnes qui exécutent des lois brutales dans un pays qui approuve le recours à la torture et au crime pour défendre l’intérêt de l’Isaba (la bande)…
Sous la menace d’être tué à tout moment avec un pistolet dans la bouche, Ils l’ont électrocuté et comme cela ne les ai pas suffi, ils l’ont violé à tour de rôle en mettant un bâton dans son derrière. Pour que son enfer s’est poursuivi pendant 12 jours, après quoi il a été renvoyé à la prison d’El Harrach situé à 10 km au sud de la capitale et le garder là-bas, a côté d’Athmane Tartag et Saïd Bouteflika suspendu nus, et les ont aspergés d’eau froide dans les nuits d’hivers froides finit par renvoyé Saïd Bouteflika en prison entre la vie et la mort, laissant Athmane Tartag entre les main d’une soit disant infirmière qui le frappait au visage, et l’humilier de plus en plus face aux douleurs insupportable en suppliant d’obtenir des analgésiques.
Le général Toufik a été rapidement transféré à l’hôpital après des longues séances de torture souffrant de saignements internes, de fractures au niveau de l’épaule et de la jambe gauche …
Des sources bien informées ont déclaré que la bande du général Saïd Chengriha était fou de rage à cause des fuites d’informations qui révèle le vrai scenario et les personnes qui sont impliquée dans l’assassinat du Gaid Salah ainsi que le soutien secret des forces de Khalifa Haftar, qui bénéficie également du soutien politique et logistique de l’Égypte, des Émirats arabes unis, de la France, de la Russie et d’autres pays.
On pense qu’un tel soutien est directement lié à la richesse pétrolière ainsi que d’autres informations présentant un intérêt pour le conflit interne. Par conséquent, ils sont certains que quiconque fuit les informations est l’un des espions de Toufik, les hommes de Tartag ou de Saïd Bouteflika.
Gaid Salah a marqué ces derniers jours par un pas politique du régime, plongé dans un exercice de funambulisme avec lequel il entend satisfaire le désir de changement de la population sans vraiment rien changer. Une intervention du général devant l’armée a été le coup d’envoi d’une campagne «mains propres» qui a depuis servi à purger et emprisonner des dizaines d’officiers militaires, de politiciens, d’hommes d’affaires et de journalistes de haut niveau, tous considérés comme apparentés au clan Bouteflika. Parmi eux, le frère de l’ancien président, Saïd, qui était considéré comme le véritable pouvoir dans l’ombre. Le général Mohamed Mediène appelé Toufik, chef des services de renseignement depuis 25 ans, et son numéro deux, le général Athmane Tartag. Saïd et Toufik ont été condamnés à 10 ans de prison après un procès rapide dont doutent différentes organisations.