Le Hirak se poursuivi et s’étend sous le nez du système des généraux

Le système des généraux essaie de temps en temps de réduire l’élan croissant du mouvement et l’implication de tous les groupes et catégories de la société algérienne dans celle-ci
En effet, il a chargé ses médias officiels et d’autres canaux rémunérés et financer par les services de sécurité de l’état, pour mal-valoriser les réalisations du Hirak et remettre en question son utilité après être entré dans le 11e mois sans faiblesse ni recul.
En fait, Al issaba et ses pôles de médias et ses chaînes de télévision soulèvent de temps en temps des questions suspectes sur l’étendue de la participation du public, sa force, son agressivité, les degrés de sa propagation et de mobilisation permanente chaque vendredi.
Le mouvement populaire pacifique s’est poursuivi dans de nombreux États de la patrie avec persistance et détermination, atteignant sa 49e assemblée pour exiger le départ de tous les symboles du régime précédent et la libération de tous les prisonniers d’opinion, car tous les spectres du peuple en Alger et de nombreux États de la patrie sont sortis en scandant des slogans exigeant le départ de tous les symboles du régime précédent ainsi que la libération de tous les prisonniers d’opinion.
Ainsi, le mouvement et les militants qui y participent répondent tous les vendredis en intensifiant les invitations à participer et sortir sur les places, les rues et les rassemblements, ce qui se reflète la force du mouvement et sa participation malgré tous les obstacles naturels, y compris les basses températures et le froid extrême, et d’autres obstacles que les services de sécurité de l’issaba mettent tous les mardis et vendredis devant les participants et les manifestants, tels que l’imposition du cordon de sécurité et la fermeture des rues et des transports publics.