Malgré le grand effort fait par le chien des généraux, Tebboune, pour imposer la nouvelle Constitution de ses maîtres au peuple, il ne pouvait que se persuader de cette constitution. Car de nombreuses personnalités ont signé un document appelant à une constitution qui découle exclusivement de la volonté populaire sous le titre « Déclaration d’une Constitution faite pour le Peuple et sa Souveraineté « .
Ce document a été signé par une quarantaine de personnalités de divers domaines et les signataires estiment que cette Assemblée constituante est la seule capable de répondre aux aspirations politiques du peuple. Les auteurs du document indiquent que cette demande provient d’un profond désir de transformation démocratique et de citoyenneté pour un peuple uni ainsi cette déclaration confirme que le mouvement « rejette » le régime militaire autoritaire et tout autre forme de tutelle politique …
Pour défendre cette idée, les signataires ont donné l’exemple des pays qui ont adopté cette voie de sortie de la dictature militaire afin que le document brosse un sombre portrait de la situation politique actuelle dans notre pays où le système des généraux se concentre notamment sur la répression violente contre les militants du mouvement.
Les signataires du document ont également condamné de la campagne d’arrestations et de sanctions arbitraires, qui a porté atteinte à la liberté et organisé des obstacles à l’exercice des libertés …
Les signataires du document, ont souligné que pour eux, la version constitutionnelle proposée par le chien des généraux, Tebboune, est autoritaire et le résultat d’une pensée dictatoriale. Ainsi que, cette constitution est loin de répondre aux exigences du peuple algérien.
Les signataires insistent également sur le fait que l’Assemblée constituante est le seul moyen possible d’avancer vers une deuxième république. Le communiqué de l’association indique qu’un État civil et démocratique permettra de tourner la page sur l’État profond qui étouffe les aspirations du peuple.
Il convient de noter que des politiciens, des avocats et des militants des droits de l’homme figurent parmi les signataires du document.