Après l’arrestation de l’ancien Premier ministre d’Ahmed Ouyahia, le frère de l’ ex-président Saïd Bouteflika, les deux anciens chefs des renseignements algériens Athmane Tartag et Mohamed Mediène, connu sous le nom de Général Toufik, l’homme d’affaires et ami proche de Saïd Bouteflika, le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Ali Haddad ainsi que les frères Coninav et le millionnaire Issad Rebrab et bien d’autres responsables pour « complot contre l’autorité de l’État ». On se demande si c’est bien le tour maintenant des chefs des partis politiques pour être arrêter?!
Dans le même contexte le Conseil de la nation (Sénat) a lancé la procédure de levée de l’immunité parlementaire du sénateur Amar Ghoul, ex-ministre des Travaux publics, suite à la demande du ministère de la Justice
En outre, les deux ex-secrétaires généraux du FLN, Djamel Ould Abbès et Mouad Bouchareb seront traduits devant la commission de discipline du FLN a souligné dans un communiqué qu’ils ont causé « de graves dommages pour le parti ».
Le président la commission de discipline du parti a déclaré que «des répercussions négatives sur l’unité et la cohésion du parti, en sus de dépassements et du non-respect des règles d’éthique de l’action politique et partisane ».
Par ailleurs, les membres du Comité ont convenu de l’importance de rappeler aux militants, aux militantes et aux membres des conseils locaux et nationaux de la nécessité de faire appel à la loi fondamentale et aux règles internes du parti et de respecter les règles de discipline et les directives du Secrétaire général du parti.