Malaisie : La générosité et la bienfaisance pendant le mois sacré du Ramadan

Dans le but d’aider les personnes âgées et nécessiteuses, un membre de Melaka Exco a rendu visite à une femme de 94 ans le premier jour du Ramadan.
Norhizam Hassan Baktee, président du Comité des industries de l’agriculture, du développement des entreprises, des coopératives et des industries agroalimentaires, a rendu visite à « Lee Ah Choo » (94ans) chez sa fille à Cheng, où il a remis des biscuits et une aide financière.
«Le Ramadan est mois sacrés et recevoir une bénédiction d’une personne âgée est quelque chose de spécial pour moi. En tant que musulman, j’ai été élevé dans le respect de tous les êtres humains et je me sens honoré de passer ma première journée de jeûne avec grand-mère Lee » a déclaré lors de la visite lundi 6 mai.
Norhizam a déclaré aussi que la bénédiction de « Lee » lui était propice pendant le mois sacré et a décidé de lui rendre visite après avoir appris qu’elle avait besoin d’aide pour financer ses frais médicaux
« Lee », qui est fragile et incapable de marcher, était excitée de voir Norhizam chez elle. Elle a dit « merci de me rendre visite, je suis très heureuse aujourd’hui ».
Il a déclaré que l’empathie envers les pauvres et les personnes âgées était un pilier fondamental de l’islam.
« Les actes de bonté commis au cours du mois sacré ne sont pas réservés aux musulmans. L’Islam se préoccupe de toute l’humanité » dit-IL
Norhizam a déclaré qu’il continuerait à visiter des orphelinats et à nourrir les gens de la rue pendant le Ramadan.
«Je peux faire plus cette année, car certains partis aident à participer pour couvrir davantage de personnes dans le besoin dans l’état. Auparavant, j’utilisais mes économies pour faire du bénévolat pendant le ramadan à une plus petite échelle », déclare-t-il
Norhizam a ajouté que lorsqu’il grandissait dans les années 1970, ses parents avaient l’habitude de manger avec des non-musulmans au moment de la rupture
« Personne n’a fait de problèmes de religion alors que beaucoup d’entre nous étaient pauvres et il n’y avait pas de place pour le fanatisme, car mettre de la nourriture sur la table était la principale préoccupation ».