La corruption dans « bled de Mickey » est un monstre à plusieurs têtes et malgré qu’elle est très répandue dans de nombreux domaines, de « l’armée à la Sonatrach », il y a très peu de journaux et de journalistes qui en parlent et un petit nombre de corrompus sont jugés et punis.
En effet, certaines estimations montrent que la corruption (les pots de vin) représente à elle seule des milliards de dinars par an et bien davantage dans le domaine des accords fictifs et l’achat d’armes. Le fardeau le plus lourd réside dans les conséquences de la corruption sur les classes défavorisées de notre société. Ainsi, la corruption épuise les ressources publiques et freine la croissance économique de nombreuses manières. Des économistes locaux et d’autres experts ont examiné les liens existant entre la corruption d’une part et la propagation des maladies, « cancer et diabète » et les faibles dépenses consacrées à l’éducation et aux services de santé, d’autre part.
Selon les résultats d’une étude réalisée par Transparency International ont montré que la corruption exacerbe les inégalités et augmente les effets négatifs. De plus, l’interaction de la corruption avec les inégalités nourrit la politique populiste. Lorsque la corruption est systématique, elle sape la capacité des gouvernements à attirer des investissements, elle affaiblit les institutions et les systèmes financiers, décourage les investissements étrangers, fausse les flux de capitaux internationaux et ces risques menacent la croissance économique et la stabilité financière.
C’est pourquoi plusieurs capitaux étrangers ont fui l’Algérie car tout le monde sait qu’ils doivent partager avec les fils des généraux le bénéfice de leur investissement.
La meilleure preuve à cela, se sont les fils du général Gaid salah qui ont la main sur tous les projets de l’Orient. Ainsi, l’avidité des généraux et de leurs enfants accélérera l’érosion des réserves de change, ce qui entraînera l’effondrement de l’économie algérienne à tout moment. Il faut donc un changement radical pour sauver le pays et la population.