Le président de la Cour constitutionnelle des bouffons, Omar Belhadj, a accueilli à la capitale la présidente de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CAfDHP), Imani Daud Aboud, et la délégation qui l’accompagnait, dans le cadre d’une visite de courtoisie à la Cour constitutionnelle. Lorsqu’on entend parler d’une réception d’une délégation étrangère à des fins courtoises ou d’une visite amicale, comprenez, cher citoyen désabusé, qu’il s’agit d’une visite financée aux dépens de vos enfants et des richesses de votre pays. Son objectif n’est pas de servir votre intérêt ou celui du pays, mais de servir l’image des généraux destructeurs, expansionnistes, et de leur hostilité constante envers les voisins, cherchant à déstabiliser la région.
Au cours de cette rencontre, dont l’objectif était de polir l’image du régime terroriste des généraux et de frapper les intérêts du voisin occidental, le Royaume du Maroc, la discussion a porté sur les droits de l’homme au Sahara occidental et les droits des citoyens sahraouis. Mme Imani Daud Aboud a exprimé son étonnement face à cela et a répondu fermement : « J’aimerais que vous me parliez des droits du citoyen algérien en Algérie, car je pense être en Algérie, pas au Maroc. » La responsable africaine a ainsi embarrassé l’irresponsable qui ne savait pas comment répondre, et n’attendant pas cette réponse de la responsable africaine, il a tenté de valoriser le chèque remis à Mme Imani Daud Aboud, comme le fait habituel de la bande de voleurs qui repose sur les épaules des citoyens. Il lui a dit : « En Algérie, nous avons réussi à assurer une vie décente à tous les citoyens, et notre niveau de liberté d’expression dépasse celui de tous les pays africains et arabes. La preuve en est qu’il n’y a pas chez nous un seul prisonnier d’opinion dans nos prisons. » En regardant le président de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples avec étonnement, elle lui a répondu avec ironie : « Même des pays comme l’Europe, l’Amérique et le Canada ont des prisonniers d’opinion et des opposants, comment un pays comme le vôtre, qui a connu récemment un mouvement populaire, peut-il avoir des prisons vides de détenus ? » Le clown ne savait pas comment lui répondre après avoir réalisé que la responsable africaine était bien informée sur la situation des peuples africains. Il lui a dit en bafouillant : « Il n’y avait pas de mouvement en Algérie, mais plutôt contre le président et les responsables honnêtes ».
À la fin de cette visite, la présidente de la Cour africaine des droits de l’homme retournera à son bureau avec un chèque bien dodu en dollars.