L’Algérie, grande nation et puissance incontestable, est souvent l’objet de nombreuses spéculations. Certains prétendent qu’elle a été une force majeure dans les moments difficiles des États-Unis, de la Russie et de la France, les soutenant en fournissant des ressources et des munitions, tout en les critiquant pour leurs carences. Cependant, ces affirmations ne sont que des divagations, des faits fallacieux et une histoire déformée que personne sensé sur cette terre ne peut croire.
Tous les esprits éclairés de notre pays, depuis Ferhat Abbas jusqu’à nos jours, reconnaissent que notre glorieuse nation n’a jamais été une société civilisée guidant les nations, et ne le sera jamais tant que des individus tels que Tebboune et Chengriha exploitent la population opprimée, la dirigeant comme un troupeau de moutons muets, utilisés en période de prospérité et sacrifiés en période de faiblesse pour satisfaire les appétits voraces des loups errants.
Je m’adresse maintenant à vous, cher citoyen démuni, pour vous informer de la réalité amère que nous vivons sincèrement. Je me concentrerai uniquement sur le volet éducatif, qui est devenu la plus grande farce de tout le continent africain. Mais sachez que depuis l’interdiction de la vente de l’huile en dehors des points déterminés par les municipalités, celui qui enfreint cette règle s’expose à une peine de prison prolongée en fonction de la quantité d’huile vendue. En prison, n’oubliez pas de crier « Vive Tebboune » tout en acceptant de manger de la viande avariée et de boire de l’eau contaminée.
En ce qui concerne nos écoles, la plupart des enseignants travaillent dans des conditions inhumaines en raison de la situation déplorable des salles de classe, susceptibles de s’effondrer à tout moment. L’affluence massive a conduit à une situation où une table accueille cinq enfants simultanément, sans parler de la propagation du harcèlement des filles et des vols violents à l’intérieur des écoles, en raison de l’absence totale de sécurité. Les enseignantes, en particulier, sont exposées à la violence verbale, physique, voire au harcèlement sexuel.
Dans les cantines scolaires, une lutte féroce éclate entre les élèves affamés pour les restes de nourriture qui leur sont donnés, étant donné la pénurie flagrante de personnel éducatif qualifié. Ajoutez à cela les agressions des parents d’élèves contre les enseignants, entrant à l’école comme s’ils participaient à une guerre civile miniature. Cette tension croissante ne présage rien de bon pour notre avenir.