La série de critiques à l’encontre du gouvernement du clown Tebboune se poursuit, alors que notre pays en crise fait face à une montée de l’agitation sociale en raison de la hausse du coût de la vie et des prix, qui ont écrasé le citoyen ordinaire ne trouvant d’autre recours que la rue pour protester contre sa situation misérable et la défaillance des autorités à respecter leurs engagements et promesses mensongères.
Face à l’incapacité du gouvernement des généraux à élaborer des politiques publiques adaptées pour faire face aux multiples crises auxquelles le citoyen est confronté, plusieurs voix de l’opposition intérieure et extérieure ont souligné que le gouvernement Tebboune, qui a échoué, n’a pas respecté ses promesses, en particulier celles liées aux engagements du dialogue social concernant l’augmentation générale des salaires et l’amélioration du pouvoir d’achat des citoyens. Ces mêmes voix d’opposition ont dénoncé toutes les politiques appauvrissantes visant les classes laborieuses du peuple, alors que notre société pauvre est caractérisée par le coût de la vie élevé et la propagation de la pauvreté résultant des politiques suivies basées sur la subordination, le monopole, le pillage et la corruption, ainsi que la persistance des protestations, la répression des droits des travailleurs et l’échec du gouvernement à respecter ses engagements. Face à l’entêtement du régime des généraux et à son refus de répondre aux demandes populaires les plus élémentaires, tout en apportant un soutien total aux généraux, à leurs familles et à leur entourage ainsi qu’aux bourgeois et aux hommes d’affaires favorables au régime militaire, le Front social d’opposition a appelé au retour de la bénédiction du mouvement populaire dans les rues et à l’organisation de marches et de rassemblements locaux pour protester contre la persistance de la cherté de la vie due aux politiques d’échec dans la gestion des crises et de transfert des conséquences de ces politiques sur le peuple écrasé à travers des hausses massives de plusieurs taxes et de la facture d’eau et d’électricité, ainsi que des facteurs d’inflation, vidant ainsi les aides financières aux familles pauvres dans le cadre de la protection sociale de leur utilité et plongeant le pays dans une impasse dont l’issue ne peut être que le désastre.