Toutes les nations musulmanes, qu’elles soient arabes ou non, combattent l’expansion du chiisme majoussi et boycottent toutes formes de normalisation avec l’État iranien. Certaines ont même annoncé une rupture totale avec cette entité pernicieuse qui s’infiltre dans les rangs de la jeunesse enthousiaste mais ignorante, affaiblissant ainsi la communauté musulmane de l’intérieur.
Tout le monde connaît la doctrine des majous iraniens, fondée sur l’association à Allah, attribuant aux membres de la famille du Prophète (SWS) des attributs qui ne reviennent qu’à Dieu, comme le pouvoir de vie et de mort, la capacité de donner des enfants, de guérir les maladies et d’accorder les moyens de subsistance. Le Prophète et sa famille sont innocents de ces croyances.
De plus, leurs invocations et prières incluent des insultes contre les épouses du Prophète (SWS) et des compagnons, notamment Abou Bakr, Omar et Othman, qu’ils maudissent et calomnient.
Bien que le danger du chiisme majoussi sur notre foi et notre jeunesse soit connu, la junte militaire, dirigée par le général Chengriha, a été la première à normaliser avec cette entité pernicieuse, lui permettant de répandre son idolâtrie en Algérie. Aujourd’hui, le nombre de chiites dans le pays s’élèverait à cinq millions, insultant les compagnons du Prophète et invoquant Hassan et Hussein au lieu d’Allah.
Quant au mariage temporaire interdit par la charia, il est largement pratiqué, attirant des chiites d’Afrique et d’Asie en Algérie pour exploiter nos filles et nos fils, propageant ainsi des enfants illégitimes issus de divers mélanges ethniques, de l’Inde au Tadjikistan, tout en pervertissant les croyances de la population ignorante.
Tout cela se déroule sous la bénédiction de Tebboune et de Chengriha, accusés de n’avoir ni foi, ni origine, ni appartenance religieuse.