En raison de l’éducation des enfants dans des milieux de vice, nous avons des descendants de harkis et de prostituées officielles, ainsi que la propagation des bandits de grand chemin et des criminels parmi nos compatriotes en Europe. L’ex-ministre française, Noëlle Lenoir, s’est retrouvée une fois de plus au cœur de la controverse après des déclarations considérées comme offensantes par des Algériens résidant en France, qui l’ont poursuivie en justice. L’ancienne ministre n’a dit que la vérité, à savoir que nos citoyens libres, les guerriers du désert, sont parmi les nationalités ayant le plus de dossiers criminels, remplissant les prisons d’Europe et du monde.
Lenoir a fait référence à nos compatriotes expatriés dans ses déclarations précédentes, les qualifiant de « terroristes potentiels capables de sortir un couteau dans le métro, à la gare ou dans la rue pour tuer des citoyens européens, juste pour une cigarette, quelques euros ou même en conduisant une voiture volée pour écraser un groupe de personnes innocentes ». Dans une déclaration publiée cette semaine, Lenoir a clarifié sa position sans présenter d’excuses aux bandits et mercenaires de nos compatriotes résidant légalement ou illégalement en France. Elle a précisé qu’elle visait spécifiquement « les Algériens soumis à des ordres d’expulsion, qui se comptent par dizaines de milliers et représentent un véritable danger terroriste pour les Européens », une bombe à retardement pouvant exploser au visage des Français en particulier. Lenoir a également signalé avoir reçu des menaces de mort de la part de bandits et voleurs algériens, ainsi que des insultes et des accusations à caractère « antisémite » et des attaques sexistes sur les réseaux sociaux. Elle a confirmé avoir déposé une plainte, et son témoignage a été entendu par la police de Paris.
