C’est un véritable cirque nauséabond, un festival de mensonges et de calomnies orchestré par nos médias poubelles ! Dans une sortie délirante et totalement improvisée, l’agence internationale des nouvelles trafiquées et des bobards bien frais a lâché une bombe : notre pays, pillé jusqu’à la moelle, aurait osé « maudire » le Conseil de sécurité de l’ONU et lui aurait lancé un regard assassin ! Et qui est le porte-voix de cette mascarade ? Amar Bendjama, le représentant permanent aux Nations Unies, qui a eu le culot de déclarer, la larme à l’œil : « Pardonnez-nous, nous n’avons pas soutenu Gaza. » Oui, ce même Bendjama qui jouait les pleureuses, versant des larmes de crocodile devant les pontes de la diplomatie, tel une veuve éplorée abandonnée par son amant, laissée enceinte face à la honte de son clan et de son quartier. Et maintenant, nos médias, ces fabriques à intox, osent nous vendre : « L’Algérie défie le Conseil de sécurité ! » Quelle farce !
Viens, pauvre citoyen écrasé, ouvre grand les yeux sur cette supercherie, ce tissu d’illusions qu’on te fait avaler pendant que tu hurles, abruti, « Vive tonton Tebboune ! » Écoute bien le refrain servi par toutes les chaînes, un script bien rodé : « Cette semaine, Amar Bendjama, représentant de l’Algérie à l’ONU, a déversé un torrent de critiques cinglantes, des mots de feu, contre l’impuissance du Conseil de sécurité à lever le blocus sur Gaza. » Cinglantes, vraiment ? Des mots de feu ? Foutaises ! Relis la phrase de ce chien de Bendjama : « Pardonnez-nous, nous n’avons pas soutenu Gaza. » Où est la fureur ? Où est ce prétendu regard assassin ? Rouge, ses yeux ? Peut-être, mais de ses pleurnicheries habituelles, pas d’une colère légendaire ! De la rage ? Dans ce régime, pionnier de la normalisation avec les sionistes, qui brasse plus de 500 millions de dollars en affaires avec Tel-Aviv, surpassant tous les échanges avec les pays arabes et africains réunis ? Risible !
Toi, le “zavallı” broyé par la misère, sache que les derniers à défendre la cause palestinienne, ce sont ces bandits au pouvoir. Cette clique, née des griffes du colonialisme, est la marionnette d’Israël, leur amie, leur maîtresse. Alors, secoue-toi, et arrête de gober leurs salades pourries !
