Depuis l’ascension frauduleuse de l’eunuque Tebboune à la tête de l’Algérie, les caisses de l’État, autrefois gavées par les hydrocarbures, se vident à vue d’œil, tandis que l’argent sale de la prostitution légalisée coule à flots. Résultat : une explosion cataclysmique du sida, un fléau qui ravage le pays dans l’indifférence générale. Un rapport choc du ministère de la Santé nationale met les pieds dans le plat, exposant sans filtre les wilayas où la débauche prospère. Alger, la capitale, trône en tête de ce palmarès sordide, suivie de près par Oran, Annaba, Batna et Sétif, où les maisons closes, dûment estampillées par les autorités du « vénéré » Tebboune, pullulent en toute légalité.
Le tableau est glaçant : la prostitution, dopée par des dizaines de milliers de travailleurs étrangers, notamment Chinois et Africains, gangrène la société algérienne. Ce n’est pas d’aujourd’hui, loin s’en faut. Dès l’époque ottomane, l’Algérie était une plaque tournante du commerce de la chair, un terrain de jeu pour marins et pirates en quête de plaisirs tarifés. Les villes côtières et intérieures, elles, s’adonnaient sans vergogne à la sodomie et à l’exploitation sexuelle des enfants, garçons et filles, le tout avec la bénédiction des lois de l’époque. Aujourd’hui, rien n’a changé, ou presque : plus de deux millions de prostituées et 2,7 millions de déviants sexuels opèrent sous la protection éhontée de l’État. Pis, la prostitution est devenue un héritage familial, une tradition perverse transmise de grand-mère à mère, de tante à nièce, d’oncle à neveu. Dans chaque foyer algérien, on trouve désormais un « déviant » ou une « travailleuse du sexe », piliers honteux qui portent à bout de bras les finances familiales. Dès 16 ou 17 ans, les filles sont jetées dans ce cloaque pour nourrir leurs frères, leurs sœurs, leur clan.
Et que dire de ces imams autoproclamés, marionnettes des généraux, qui osent justifier l’adultère et la sodomie au nom de la survie des familles ? Une Algérie où la prostitution est érigée en rempart contre la faim, où le vice devient vertu pour échapper à la misère. Voilà le legs empoisonné de Tebboune, un pays où la morale s’effondre sous le poids de la légalisation du péché.
