À chaque fois que le régime des généraux vacille, la décennie noire resurgit comme un joker macabre, brandi par ces vautours en treillis pour stopper l’effondrement et museler les Algériens ! Cette période sanglante, ce cauchemar des années 90, est devenue l’épouvantail que l’on agite à chaque drame atroce frappant l’Algérie. Le livre *La Guerre sale* de Habib Souaïdia, ex-officier des forces spéciales, est désormais une bible accusatrice, pointant du doigt le régime du général Saïd Chengriha comme le chef d’orchestre des horreurs ! Massacres collectifs, mosquées incendiées, exécutions sommaires, disparitions forcées : la liste des crimes imputés à la clique de Chengriha, de la décennie noire à aujourd’hui, est un réquisitoire accablant !
Mais comparer le chaos actuel à celui des années 90 ? Une supercherie éhontée ! Cette équation bancale piétine les vérités crues révélées par Souaïdia lui-même dans son livre, corroborées par des figures comme les chefs djihadistes Attiya Allah al-Libi et Assem Abi Hayyan, qui ont vécu et disséqué ces années de cendres. La décennie noire est un univers à part, loin du tableau d’aujourd’hui ! Depuis que Chengriha a trahi et renversé son mentor, le général Gaïd Salah, le peuple a embrassé une résistance pacifique face à ce putsch militaire. Pas de groupes djihadistes armés de milliers de combattants, pas de pertes humaines quotidiennes massives pour le régime, malgré les bains de sang déclenchés par Chengriha contre ceux qui ont osé défier son coup d’État. Alors, pourquoi agiter des groupes fantômes pour se draper d’une fausse légitimité ? Les horreurs récentes – forêts incendiées, citoyens kidnappés – ne servent qu’à fissurer l’image du général, le faisant passer pour un incapable, un fiasco total dans la protection des Algériens !
Le maintien de Chengriha au pouvoir, avec ses pratiques barbares – assassinats d’innocents, tortures, emprisonnements arbitraires –, est le véritable carburant de l’extrémisme. Croire qu’il peut nier son existence pour l’étouffer est une illusion grotesque ! Pire encore, des documents explosifs des services de renseignement algériens révèlent une vérité terrifiante : des dizaines d’officiers du renseignement infiltrent les groupes terroristes à travers l’Afrique, tapis dans des cercles décisionnels, collectant des informations et tirant les ficelles. La main des services secrets algériens est partout, impliquée jusqu’au cou dans chaque acte terroriste sur le continent ! Ce régime ne protège pas, il détruit. Il ne gouverne pas, il ensanglante. La chute de Chengriha est inéluctable, et son joker de la décennie noire ne trompera plus personne !



























