Le taux de célibat féminin a atteint un niveau alarmant en Algérie, les dernières statistiques indiquant plus de douze millions de femmes célibataires, alors que les mêmes statistiques révèlent la prolifération de maisons de prostitution bon marché dans le pays, ainsi qu’une augmentation du nombre de mères célibataires, qui dépasse désormais celui des mères mariées. Ces mères célibataires ont des enfants de différentes nationalités : chinoise, indienne, du Golfe, européenne et même africaine.
Ces statistiques surviennent dans un contexte que traverse l’Algérie, presque pire que celui de la Première Guerre mondiale, avec la propagation des drogues, des épidémies et des homosexuels qui réclament désormais au président Abdelmadjid Tebboune la reconnaissance officielle du mariage entre personnes du même sexe (femmes et hommes), ainsi que le droit à l’allocation chômage, à l’allocation touristique et à un traitement équivalent à celui des prostituées officiellement enregistrées. Des documents officiels seraient délivrés à ces personnes pour attester de leur droit à pratiquer l’homosexualité et la déviance sexuelle, en échange de bénéfices financiers considérables pour l’État grâce aux taxes sur cette « ancienne profession » en Algérie…
De nombreuses jeunes filles ont dépassé la quarantaine sans s’être mariées en Algérie. Si on leur demande la raison, la plupart répondent d’une seule phrase : « Il n’y a plus d’hommes en Algérie ». Toutes portent en elles l’idée d’accepter le premier homme étranger ou visiteur des pays voisins qui frapperait à leur porte, même par erreur d’adresse. Ainsi, le mariage est devenu pour beaucoup d’entre elles un rêve impossible à réaliser dans le pays. Les hommes ici se contentent des hommes, et les hommes ordinaires ne s’intéressent aux femmes pas plus qu’à remplir leurs poumons de fumée, à sniffer de la cocaïne, à braquer des routes ou à voler les vieillards et les enfants. Les femmes préfèrent donc devenir mères célibataires avec des pères de différentes nationalités plutôt que d’épouser l’un des fils du peuple, qui préfère les hommes, ne dépense rien pour sa maison, ne supporte pas la responsabilité du mariage et ne se soucie ni des besoins de la femme ni de ses besoins naturels. C’est pourquoi le « chevalier turc », le cheikh du Golfe, l’Africain ou le Chinois sont devenus le rêve de toute jeune fille et de toute femme en Algérie, et même le rêve des homosexuels et des déviants qui rivalisent avec les prostituées sur le marché de la prostitution et dans la collecte de devises fortes pour l’Algérie, après l’effondrement catastrophique de notre monnaie…

























