Le peuple algérien est revenu pour se soulever encore une fois, après que les généraux n’ont répondu à aucune de ses exigences primordiales.
Tout ce qu’ils ont fait, ce sont des décisions cosmétiques comme « la mue du serpent ».
Cependant, il a manqué à l’esprit des généraux traitres de Saïd Chengriha au plus petit Harki, qui ont vendu le pays à la France, que cette ère est l’ère des peuples et non pas l’ère des généraux. L’Algérie a aujourd’hui besoin d’un changement total et complet, loin du pouvoir militaire et a besoin également d’ouvrir une enquête approfondie avec tous les responsables sans exception sur les vols que le pays a connus, dont le premier est l’affaire de 1000 milliards de dollars, puis nous renonçons au processus de rajeunissement des responsables et de pomper du sang neuf dans le pays pour la construction de l’état des institutions.
Certes, depuis des années, les économistes ont renouvelé leurs craintes quant à la dépendance totale de l’État à l’égard des revenus pétroliers, sur la base de rapports internationaux et d’études locales en avertissant que les stations de production de pétrole pourraient ne pas être en mesure de respecter leurs obligations d’exportation de pétrole et de gaz d’ici 2030. Tout en soulignant ce qu’ils ont appelé le début de l’épuisement du gaz et du pétrole en Algérie. Cela renforce les craintes que l’Algérie ne soit confrontée dans les années à venir à un problème majeur lié à sa sécurité énergétique et donc une crise économique étouffante. Ils ont considéré que l’insistance des dirigeants militaires à continuer de dépendre entièrement des revenus pétroliers comme ressource de base pour l’économie et le financement du développement est un suicide économique ou peut-être un saut vers l’inconnu, d’autant plus que certains pays développés se précipitent pour trouver de nouvelles sources d’énergie. C’est pour cela, actuellement, le peuple algérien a deux options seulement : D’abord, acceptez le régime dictateur des généraux et attendre un avenir inconnu pour nos enfants … Deuxièmement, la résistance jusqu’à la chute du régime des généraux, la réforme des conditions du pays et du peuple, pour créer un avenir prometteur pour nos enfants.