L’Algérie de plus en plus au bord de la crise économique alors que la capacité de production de pétrole et de gaz diminue chaque année.
Sous le règne d’un régime dépassé et un président fragile coincé dans le coin, alors qu’il s’accroche au pouvoir et s’en prenant à ceux qui réclament la démocratie ou défient la corruption, le pillage des ressources au profit d’une élite corrompue dirigé par les généraux et de multinationales prédatrices, prêtes à sacrifier les droits humains et des écosystèmes entiers pour l’accumulation de profits.
Au long de ces années avec une incroyable stupidité, les généraux n’ont pas profité de la richesse dans le développement du pays et du peuple, ils ont décidé de tuer la poule aux œufs d’or et d’épuiser toutes les énergies en Algérie pour créer le chaos dans la vie des Algériens et des pays voisins.
On parle beaucoup du changement climatique et de la nécessité de laisser une partie des combustibles fossiles sous terre pour éviter un réchauffement climatique d’une ampleur dramatique. Mais on parle beaucoup moins du fait que les combustibles fossiles sont limités et finiront par s’épuiser.
Dans ce contexte, les experts économiques internationaux ont renouvelé leurs craintes quant à la dépendance totale de l’État vis-à-vis des revenus pétroliers, sur la base de rapports internationaux et d’études locales qui ont averti que les usines de production de pétrole pourraient ne pas être en mesure de répondre aux obligations d’exportation pétrole et au gaz d’ici 2030. Ce qu’ils ont appelé le début d’un recul et d’épuisement du gaz et du pétrole en Algérie, et cela renforce les craintes que l’Algérie soit confrontée dans les années à venir à un problème majeur lié à sa sécurité énergétique et par conséquent à une conjoncture économique étouffante. Peut-être un saut vers l’inconnu, notamment avec la ruée de certains pays développés vers la recherche des énergies renouvelables et le recours aux voitures et véhicules électriques.