Le gaz algérien est un véritable fléau pour notre peuple. Il est de la plus basse qualité du marché, le plus pollué et le plus dangereux pour les consommateurs. Chaque jour, des dizaines de citoyens meurent dans tout le pays à cause de ce gaz mortel. C’est un désastre humanitaire qui nous frappe de plein fouet.
Malgré cela, notre gouvernement continue de vendre ce gaz au meilleur prix, tout en l’offrant parfois gratuitement en signe de soumission et en gage de fidélité et d’obéissance à Mama France et au taureau espagnol, ainsi qu’aux généraux qui profitent de cette situation pour servir leurs propres intérêts subversifs. C’est une honte absolue.
Et si cela ne suffisait pas, notre pays exporte également des pattes de poulet pourries vers l’Asie et l’Amérique latine. Nous avons même mis en place un solide système d’exportation pour concurrencer l’Union européenne et le géant chinois, au détriment de notre propre peuple.
Pire encore, nous exportons des pommes de terre que nous n’avons même pas à l’origine, juste pour pouvoir acheter des armes russes de pointe, imaginez, selon les mots d’un haut responsable du pays ! C’est une situation désespérée et déchirante qui nous rappelle à quel point notre pays est en difficulté.
ce merveilleux pays où la rareté de la main d’œuvre dans le domaine de la chaussure est si inexistante qu’il est plus facile de trouver un mouton dans le désert que de tomber sur une paire de chaussures algériennes qui tiennent plus de quelques semaines. Mais ne vous inquiétez pas, chers citoyens, car nous pouvons toujours importer nos chaussures de France, d’Italie ou même de pays voisins, grâce à nos grosses sommes d’argent et nos richesses outrageantes… Ah, j’oubliais que la majorité des Algériens ne sont pas aussi chanceux que quelques privilégiés.
Vous savez quoi ? Le ministre du Commerce et de l’Industrie, Kamel Rezig, vit sur une autre planète que la Terre. Il pense que l’industrie de la chaussure algérienne est une merveille de la production, comparable aux marques internationales. Mais quelle blague ! On se demande où il a trouvé autant de confiance, alors qu’on importe même des aiguilles et des fils de l’étranger pour couvrir la nudité de nos femmes.
Mais bon, ne soyez pas trop durs avec ce ministre de génie. Après tout, il ne sait pas que la pénurie de main-d’œuvre dans le pays peut atteindre les 70%. Sans les travailleurs étrangers, nous ne serions même pas capables de produire une pantoufle de chaussure. Mais c’est sans importance. Le plus important, c’est d’exporter nos chaussures comme tous les autres produits. Après tout, pourquoi se préoccuper de la qualité quand on peut simplement se vanter de notre industrie florissante ?