La consommation de drogues est devenue une préoccupation majeure au sein des milieux scolaires en Algérie, touchant les élèves de manière vorace et préoccupante. Cette tendance, signalée comme une menace imminente, sonne l’alarme quant à ses implications néfastes, en particulier dans son rôle dans l’augmentation de la violence au sein de ces établissements. Des incidents ont été observés où des élèves attaquent leurs enseignants, les agressant physiquement, révélant ainsi les conséquences dévastatrices de cette phénomène.
Il a également été noté l’apparition d’élèves-mères célibataires prématurément, symbolisant une propagation de la corruption, de la déviance morale, de l’homosexualité, ainsi qu’une augmentation des crimes au sein de cette catégorie sensible et critique de la société.
Dans le même contexte, notre équipe de journalistes a entrepris une enquête approfondie sur le sujet en s’immergeant dans l’environnement quotidien des étudiants dans les écoles algériennes. Les résultats alarmants révèlent que 80% des élèves consomment des drogues, dont la moitié en fait usage depuis un à cinq ans. De plus, 60% des élèves féminines ont été confrontées à des avortements ou à des grossesses forcées.
La majorité écrasante des élèves, soit 90,24%, attribue la raison de leur consommation de drogues aux conditions désastreuses dans lesquelles ils vivent, caractérisées par la pauvreté, la marginalisation, la corruption environnante, et l’accessibilité facile aux substances psychotropes. En outre, 9,91% des consommateurs adolescents évoquent des problèmes psychologiques, un vide spirituel, et une isolement familial et social comme motivations.
Cela signifie que les problèmes de pauvreté, d’ignorance, de problèmes sociaux, et le fardeau psychologique précoce qui pèse sur les adolescents, encore dans la période florissante de leur vie, contribuent à ce dilemme. Ceci est exacerbé par l’absence de sécurité et de sûreté, l’injustice sociale, les disparités entre les élèves, et le harcèlement des plus démunis. Tous ces facteurs ont un impact négatif sur nos fils et filles, en plus de l’abondance de drogues à portée de main, suscitant de nombreuses questions délicates.
Qui est responsable de l’introduction de ce poison chez nos enfants, qui sont l’avenir de l’Algérie ? Qui bénéficie de l’émergence de générations dépourvues de pensée critique, dénuées de volonté, et sexuellement désorientées, incapables même de réfléchir à leur réalité ? Oui, c’est aussi un complot étranger contre nous, le peuple enseveli et encore vivant. Les généraux ne trouveront pas de repos tant que ce venin n’aura pas pénétré chaque foyer en Algérie, et que même les plus jeunes auront succombé. Ainsi, nos destins resteront entre leurs mains, contrôlés à leur guise, et nos vies demeureront sous leur emprise, comme ils le souhaitent, pour les jours à venir.