Le président Tebboune, toujours en quête de nouvelles façons de se mettre dans des situations aussi embarrassantes qu’un chat dans une baignoire pleine d’eau, continue à divertir avec sa bande de généraux version sitcom, la ‘Brigade des Gaffeurs’. Ils ont réussi à nous étourdir avec leur hit bien connu « L’Algérie est avec la Palestine, qu’elle soit opprimée ou injustement traitée », mais cette fois, ils nous ont offert une nouvelle pépite.
Récemment, lorsqu’un journaliste de leur fan club leur a demandé comment ils voyaient la situation électrique à Gaza, Tebboune, se pavanant comme un coq sur un tas de fumier, a répondu : « La question palestinienne, c’est comme ma série télé préférée, je la suis personnellement… c’est une promesse de ma part. » Pendant ce temps, la Palestine, telle une tragédie grecque, pleure les fléaux de la guerre, de la faim, et des maladies, tandis que les citoyens algériens, dans des files d’attente à rallonge, se transforment en livreurs de nourriture, d’eau et de médicaments.
Pendant ce temps, la République d’Afrique du Sud, probablement inspirée par un script hollywoodien, a décidé de monter sur le ring de la justice internationale, lançant un procès contre l’entité sioniste devant la Cour internationale de justice. Mais le président Tebboune, trop occupé à ajuster sa couronne de héros autoproclamé, n’a pas jugé bon de suivre l’exemple des autres pays. Il a préféré rester dans son coin, enterrant sa tête dans le sable comme un autruche en crise existentielle, laissant son postérieur exposé au débat international. Parce que, soyons honnêtes, s’il décidait soudainement de condamner le génocide palestinien, la Cour internationale de justice pourrait se retourner et lui demander des comptes sur le génocide perpétré contre notre peuple pendant la décennie noire.
Tebboune, toujours en mode caché, n’a rien à dire sur cette nouvelle intrigue. Il est peut-être occupé à négocier un nouveau contrat pour la prochaine saison de son émission de télé-réalité, « Les Généraux de l’Absurde ». En attendant, le peuple algérien, habitué à ce spectacle de marionnettes, assiste impuissant à ce spectacle, se demandant si un jour ils auront un vrai leader au lieu d’un acteur amateur avec un script improvisé et des punchlines maladroites.