Le gouvernement algérien a mis en avant son engagement à réduire le taux d’inflation en dessous de 4%, dans le but de préserver le pouvoir d’achat des citoyens.
Actuellement, ce taux se situe entre 7% et 8%, nécessitant une action immédiate pour le ramener à un niveau acceptable.
En identifiant trois axes principaux d’action pour atteindre cet objectif .Tout d’abord, la lutte contre l’inflation, suivie de mesures sociales telles que l’augmentation des salaires et la mise en place d’une allocation chômage. Et, l’importance de défendre la valeur du dinar algérien, notamment par le biais de la réévaluation de la monnaie nationale à travers des ajustements dans les mécanismes de taux de change au niveau de la Banque centrale.
Par ailleurs le nombre important de projets inscrits à l’Agence algérienne de promotion de l’investissement, contribue essentiellement à la création de richesses et d’emplois dans le pays. Il a également exprimé sa confiance quant à l’augmentation du PIB à 400 milliards de dollars d’ici 2026, ce qui stimulera le niveau de revenu national.
Sur le plan social, des augmentations de salaires sont prévues avec pour objectif une hausse totale de 100% d’ici 2026/2027. De plus, la création de la Haute commission nationale des recours liés à l’investissement vise à rassurer les investisseurs et à éliminer les obstacles administratifs.
En ce qui concerne la stabilité des prix des produits, le président s’est montré satisfait de leur disponibilité et de leurs prix, grâce à des mesures préventives pour réguler le marché. Il a également souligné l’importance de la sécurité alimentaire en encourageant l’initiative des professionnels du secteur agricole et en soutenant le développement des coopératives.