La famille qui gouverne l’Algérie : le père est homosexuel pervers, la mère est la maîtresse d’un baron de la drogue, et la fille a avorté illégitimement deux fois

Tout le monde dans l’entourage du palais d’El Mouradia, du serviteur au général, est au courant de la nature de la relation homosexuelle perverse qui lie l’efféminé Tebboune à son chauffeur africain viril, ainsi que de leurs escapades déviantes dans toutes les parties du palais, entre ses chambres secrètes et celles à découvert. À tel point que les domestiques du palais craignent qu’une foudre divine ne s’abatte sur le palais et ses occupants à cause des relations impures de la famille du chien Tebboune. Comment pourrait-il en être autrement ? Le chauffeur personnel de Tebboune jouit de privilèges au palais d’El Mouradia que même le fils de Tebboune ou son épouse débauchée n’ont jamais obtenus. Il ne quitte jamais Tebboune, comme son ombre. Des informations exclusives révèlent que la fortune du chauffeur africain personnel de Tebboune, déposée dans des banques européennes, rivalise désormais avec celle des fils des généraux !
Concernant la fille cadette choyée de l’efféminé Tebboune, ses scandales ont envahi les sites pornographiques avec des vidéos sexuelles obscènes et abjectes en compagnie de son amant, le conseiller spécial de son père, « Mohamed Bouakaz ». Ce dernier l’a filmée dans des positions sexuelles répugnantes, entièrement nue, alors qu’il se livrait avec elle à la débauche et au vice. Par le passé, la fille cadette du chien Tebboune a eu recours à des avortements, éliminant deux fœtus lors de périodes rapprochées, dont les pères et l’origine restent inconnus. Quant à l’efféminé Tebboune, rien au monde ne l’intéresse davantage que de voir son étalon africain continuer à labourer son terrain aride et à satisfaire ses désirs pervers, comme une vieille femme vivant une adolescence tardive.
Parlons maintenant de l’épouse respectable de Tebboune. Comme toute femme algérienne fidèle, lorsqu’elle découvre que son mari est devenu une proie pour les mâles, elle cherche quelqu’un pour éteindre le feu de la passion et du désir dans son cœur. Elle n’a trouvé personne de mieux que le plus grand trafiquant de drogue, béni par les généraux, l’homme d’affaires et d’actions le dénommé « CH. Chouaïb », dit « El hadj Zkaboudj ». Ce dernier est devenu l’amant numéro un de Zahra, l’épouse du président Tebboune. Il passe avec elle des nuits enchanteresses dans la maison conjugale du président en France, sur le lit de l’efféminé Tebboune, que ce dernier a déserté depuis longtemps, préférant le lit des Africains et des étrangers qu’il séduit avec de l’argent et du pouvoir pour assouvir ses penchants pervers dans l’Algérie nouvelle.