La semaine dernière, c’était la fête d’El Mawlid Ennabaoui echarif, que l’ensemble de la nation arabe et islamique célèbre à l’occasion de la naissance du plus noble de la création de Dieu – que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui. Toutes les capitales des pays arabes et islamiques connaissent des célébrations, de la joie et des jours fériés payés. La nuit d’El Mawlid Ennabaoui echarif inclut des éloges prophétiques, de bons souvenirs, des visites aux familles et aux amis. Cependant, nous en Algérie, nous n’avons pas le temps pour de telles superstitions. En effet, notre oncle Tebboune est occupé à remplir les coupes de vin et d’alcool pour les dirigeants africains et à présenter les prostituées d’Alger et d’Oran aux hôtes distingués. Ainsi, pendant la semaine d’El Mawlid Ennabaoui echarif, nous avons organisé l’Exposition du commerce intra-africain, ce qui est important, où Tebboune accueille ses amis africains et ses collègues…
Une vidéo du Premier ministre du Burundi ignorant notre président adoré, l’eunuque Tebboune, à son arrivée au Palais des congrès en marge des activités de l’Exposition du commerce intra-africain organisée chez nous, a suscité une vague de controverse sur les réseaux sociaux. De nombreux commentateurs ont exprimé leur position, considérant que ce qui s’est passé constitue une insulte au chien Tebboune dans son propre pays et devant les citoyens. L’un d’eux a écrit : « Les invités africains à la conférence de Tebboune le dépassent et ne le connaissent même pas, et, ce n’est rien d’autre qu’un scandale et une honte ; l’invité ne connaît pas l’organisateur de l’hospitalité… » Tandis qu’un autre a ajouté : « Bien sûr qu’il l’ignore, car il ne le connaît pas du tout et ne lui connaît aucune position ni en Afrique ni dans le monde arabe ; de plus, il est un président sans pouvoir car ce sont les généraux qui gouvernent le pays. »
Cette vidéo met en évidence la tension existant entre les figures officielles en marge des événements continentaux, ce qui reflète des dimensions diplomatiques qui ont suscité un large débat au sein de l’opinion publique et des observateurs des affaires africaines.
