À l’approche de la fin de cette année, l’Algérie s’enfonce dans un cauchemar de violations des droits humains et de répression brutale des citoyens ! Les critiques fusent contre le régime autoritaire, accusé de persévérer dans ses politiques oppressives, usant de harcèlements et d’une force démesurée pour écraser manifestants, défenseurs des droits et citoyens révoltés par la cherté de la vie, les pénuries criantes de nourriture, d’eau et d’électricité, sans parler de la corruption galopante, des maladies qui se propagent et de la prostitution qui gangrène le pays jusqu’aux confins de la République !
Face à l’impuissance scandaleuse des autorités à instaurer des mécanismes efficaces pour protéger droits et libertés, l’Université algérienne de l’enseignement (branche populaire démocratique) a jeté un pavé dans la mare, dénonçant avec véhémence « la dérive dramatique des droits humains et l’offensive acharnée contre les libertés publiques ». Arrestations arbitraires, procès politiques, musellement des libertés, chasse aux journalistes et blogueurs, restrictions suffocantes : la liste des abus est interminable ! Dans un communiqué cinglant, l’université fustige l’étranglement du travail syndical, la violation du droit de manifester pacifiquement, l’interdiction des grèves et l’acharnement répressif contre les enseignants et docteurs en lutte, suspendus, privés de salaires, leurs familles harcelées. Pire encore, des associations locales de défense des droits humains révèlent un chiffre glaçant : depuis le génocide et les crimes contre l’humanité perpétrés par l’entité sioniste contre le peuple palestinien, pas moins de 6170 militants, y compris des mineurs et des femmes, ont été traînés devant les tribunaux de première instance pour avoir osé organiser des manifestations de solidarité, convoquées par des partis d’opposition et des associations. Résultat ? Une répression sauvage, des coups, des arrestations arbitraires !
Dans ce climat de terreur, des voix de l’opposition, en Algérie comme à l’étranger, hurlent leur indignation face à cette guerre ouverte contre les droits et libertés. Les restrictions sur l’organisation, les rassemblements, la liberté d’expression et d’opinion s’accumulent, tandis que journalistes, activistes, blogueurs et défenseurs des droits humains croupissent en prison ou subissent des procès iniques. Ce tableau sombre est un avertissement : l’avenir s’annonce funeste si ce rouleau compresseur répressif n’est pas stoppé net !
