En Algérie, les services de la police judiciaire de Baba Hassen, dans la capitale, ont réussi à élucider le mystère d’un crime grave dont a été victime une femme quadragénaire, psychiatre et mère de deux enfants (âgés de 3 et 5 ans). Elle a été violée et sa résidence, une villa de deux étages située à Baba Hassen, a été cambriolée de nuit. Elle a été ligotée, bâillonnée et violée, après avoir été menacée avec un sabre posé sur son cou. Des bijoux et 560 millions de centimes ont été volés avant que les auteurs ne prennent la fuite.
Les accusés « B.M » et « S.A » ont nié, lors de leur procès, les faits qui leur sont reprochés et ont affirmé n’avoir aucun lien avec l’opération de vol dont a été victime la plaignante. Ils ont déclaré être simplement des patients de la victime et ont catégoriquement nié toute implication dans le crime. Il en va de même pour le troisième accusé, qui a écoulé les objets volés et qui a rejeté les accusations portées contre lui. De son côté, l’avocat de la victime a considéré les faits de l’affaire comme extrêmement graves et a demandé une requalification des faits de délit en crime, estimant que les faits présentent une qualification pénale par excellence. Il a également réclamé que les accusés soient condamnés à verser une indemnisation d’un milliard de centimes pour les préjudices psychologiques et matériels subis par la victime.


























