Selon nos sources à la prison d’El Harrach, le président (marionnette de Gaid Salah) Abdelmadjid Tebboune s’est rendu dans la prison où son fils Khaled est en détention provisoire depuis 2018, pour des accusations de blanchiment d’argent et de trafique de cocaïne dans la fameuse affaire qui avait fait scandale et qui a permis la saisie, d’une cargaison de 701 kg de cocaïne au port d’Oran.
Les mêmes sources ont déclaré qu’après avoir rencontré son fils, il avait demandé à rencontrer Saïd Bouteflika, le frère du président déchu, Abdelaziz Bouteflika, dans un bureau de la prison …
Les sources ont mentionné que lors de cette visite, des cris de Saïd Bouteflika ont été entendus et lorsque les gardes ont intervenu, ils ont trouvé AbdelMajid Tebboune en train de rire en se moquant de Saïd et de son état à la prison. Le frère de Bouteflika n’a pas cessé de crier à haute voix en décrivant Tebboune de » Chien de Gaid Salah ». Cependant, tout le monde sait que la raison de cette querelle est l’ancien conflit entre la marionnette du Gaid Salah, AbdelMajid Tebboune et le corrompu Saïd Bouteflika, frère du président de la République et son conseiller personnel, qui était décrit à l’époque comme la figure la plus influente du pays, que tout le monde considérait comme le président effectif en Algérie depuis la maladie de son frère Abdelaziz Bouteflika et son absence en permanence.
Mais, la goutte qui a fait déborder la coupe et a ouvert le conflit entre les deux hommes. C’est la décision prise par le Premier ministre à l’époque (Tebboune), qui a décidé de reprendre les projets que l’État a accordés à l’homme d’affaires Ali Haddad et de les accorder au fils du général, Gaid Salah « Boumediene ».
En effet, cette époque était l’apogée du conflit entre l’ancien garde qui s’étendait dans l’établissement militaire et le clan qui mettait en œuvre les agendas et les intérêts de la famille « Bouteflika » représentés par des hommes d’affaires et des financiers et quelques personnalités influentes du gouvernement qui profitaient de l’absence du président à l’époque.