Ceux qui ont défendu le cinquième mandat, défendent aujourd’hui Gaid Salah

Certes que Je n’appartiens à aucun parti politique et je ne suis pas contre aucun de ces partis, mais je sentais une grande culpabilité, et je me considérais comme un diable muet si je gardais le silence et je n’arrive pas à défendre et à soutenir les personnes qui ont critiqué le général Gaid Salah et qui ont été durement critiquées et gravement attaquée et d’une façon injustifiable par la presse liée à un clan bien précis en Algérie que tout les algériens connaissent. C’est cette même presse qui a défendu le cinquième mandat de Bouteflika avant le Hirak populaire. Quelle humiliation vous tentez faire pour le grand people algérien avec cette stupidité médiatique et scientifique.
En fait, ceux qui ont défendus le cinquième mandat hier, défendent aujourd’hui le Gaid Salah et prétendent qu’ils sont patriotiques et soutiennent le peuple algérien dans sa révolution contre le régime actuel.
En fait, ce qui est arrivé à ceux qui ont critiqués le général Gaid Salah m’a rappelé l’histoire du prophète Moïse lorsqu’il était face au Pharaon. L’histoire se répète maintenant et les mêmes incidents se répètent.
À l’époque de Pharaon, ils l’ont tous sanctifié et glorifié jusqu’à ce que Pharaon ait cru qu’il était un Dieu. Mais quand Moïse se tenait face à lui en montrant avec la forte preuve l’existence du grand dieu, Pharaon ne voulait pas céder, au contraire il a insisté sur sa tyrannie et sa confiance dans les mensonges de ceux qui l’entouraient et qu’il est bien dieu le plus puissant qui peut offrir une vie ou achever une autre. Jusqu’à ce qu’il a périt et devienne une leçon à travers l’histoire et le temps.
Le général Gaid Saleh jouera-t-il le même rôle de Pharaon et aurait-il le même sort? Espérant que oui.
Bien que la diabolisation des personnes qui critique le général Gaid Salah indique clairement qu’il n’existe pas de liberté d’expression en Algérie sauf pour ceux qui le glorifient.
Il n’est pas exagéré de dire qu’en Algérie aujourd’hui, une nouvelle base de média et de presse est en train de se constituer.
En effet si tu veux réussir dans le domaine de la presse et être un bon journaliste en Algérie, tu dois glorifier le chef de l’armée Gaid Salah ainsi que d’attaquer ceux qui le critiquent.
Par conséquent, le général Gaid Salah doit être bien conscient du fait que ceux qui le critiquent maintenant sont vraiment les gens qui se préoccupent et s’intéressent à l’intérêt public du peuple. Et que les hypocrites qui le glorifient, ce sont eux qui le piétineront et l’humilieront après sa chute.
Je crains que le général Gaid Salah poursuive son injustice et renforce sa dictature en pensant qu’il est vraiment démocratique et juste en se basant sur les propos d’hypocrites.