Grâce à la politique « sage et avancée » du président Tebboune, qui a appauvri la moitié de la population, affamé l’autre moitié, et augmenté les cas de suicide, la plupart des villes et villages algériens connaissent une propagation importante de personnes souffrant de troubles mentaux de différents âges. Ils vivent près des routes, des places, des parcs, des murs et à proximité des marchés et des mosquées, exposant ainsi les passants à un danger constant. De nombreux incidents tragiques ont eu lieu dans diverses régions d’Algérie impliquant des individus souffrant de troubles mentaux, qui se déplacent librement dans les lieux publics sans aucune intervention des autorités compétentes, auxquelles la loi confère le pouvoir de placer cette catégorie de personnes dans des centres de santé et des institutions de soins dans tout le pays.
Les personnes souffrant de troubles mentaux et de maladies psychiatriques vivent dans des conditions inhumaines en raison de la malnutrition, du manque d’hygiène, du manque de sommeil et du froid glacial pendant la nuit. La plupart d’entre eux souffrent de maladies mettant leur vie en danger, telles que des maladies cutanées, de l’asthme, des allergies, des problèmes rénaux, et d’autres. De plus, ils sont exposés à la violence et à l’exploitation sexuelle, en particulier les femmes et les enfants parmi eux, dans les endroits où ils résident, qui sont souvent isolés, sombres et dangereux, en l’absence totale de prise en charge humanitaire de la part du gouvernement de Tebboune et de ses complices. Comme si cette catégorie de la société n’était pas algérienne et n’avait aucun droit ou responsabilité envers l’Algérie.
En l’absence de statistiques officielles et de données précises sur le nombre de personnes souffrant de troubles mentaux errant dans les rues de la République, leur nombre augmente continuellement de manière alarmante depuis 2019. Malgré les appels, les avertissements et les rapports incessants émis par les organisations de défense des droits de l’homme, exhortant les autorités compétentes à intervenir pour contenir ce phénomène en garantissant des soins et une protection adéquats pour eux, nous ne pouvons rien attendre de la bande au pouvoir. Si les généraux sont la principale cause de leur maladie, de leur errance dans les rues, de leur mendicité, et de leur mort inhumaine, l’objectif ultime de la bande est d’éradiquer l’Algérie de ses vrais fils pour ne laisser vivre que leur propre clique et quelques esclaves des palais d’El Mouradia…