En Terre de Mickey, avec le début de l’été et l’approche de l’Aïd al-Adha, l’Algérie est en proie à une crise catastrophique. Les marchés et les magasins locaux sont dépourvus de produits alimentaires et de consommation, créant une pénurie grave qui pourrait facilement déclencher une guerre civile et une révolution de la faim. Les citoyens ne trouvent plus les produits de première nécessité comme la nourriture, l’eau, la farine, le lait et ses dérivés, ainsi que d’autres biens essentiels à la vie quotidienne. Pendant ce temps, les rares produits encore disponibles atteignent des prix exorbitants, exposant l’ensemble de la population au risque de famine. Le pouvoir d’achat des Algériens s’est effondré, le chômage explose et les maladies sexuellement transmissibles se multiplient, autant de signes alarmants d’une situation en pleine déroute.
Le désespoir des citoyens affamés les pousse à des actes désespérés, comme l’attaque d’un camion dans la wilaya d’In Salah pour voler sa cargaison de farine, devenu un produit de luxe inaccessible pour beaucoup. Le chaos règne et la spéculation illicite sur les prix de la farine et de la semoule s’aggrave, les grandes entreprises de confiserie et de biscuits accaparant ces produits de première nécessité. Aujourd’hui, les Algériens ne peuvent même plus se procurer les denrées alimentaires les plus basiques pour survivre. Les files d’attente interminables pour un demi-litre de lait ou d’huile sont ponctuées de disputes et de bagarres, allant parfois jusqu’aux crimes mortels, ce qui illustre la misère absolue de la population.
Les utilisateurs des réseaux sociaux dénoncent régulièrement l’inaction et l’indifférence du régime militaire, accusant Tebboune et les généraux de regarder leur peuple souffrir à tous les niveaux. Pendant ce temps, ils distribuent généreusement des cadeaux aux mercenaires de Tindouf et aux dirigeants de groupes terroristes en Afrique, comme s’ils dilapidaient l’argent du pays sans aucun scrupule. Le peuple, affamé et abandonné, ne peut plus accéder aux légumes, fruits, viande, farine, légumineuses et poisson, à l’approche de l’Aïd al-Adha. Le régime des généraux continue de piller les richesses de l’Algérie, se partageant les ressources entre eux et léguant la nation à leurs descendants comme si elle était leur propriété personnelle.