La vipère (le Polisario) qu’ils ont nourrie finira par s’enrouler autour de leur cou

Dans un développement grave des événements, des affrontements sanglants ont éclaté entre des unités de l’armée nationale et des éléments du Front Polisario à Tindouf, révélant la fausse domination de la bande de généraux sur leur création choyée, qui s’est transformée en un monstre incontrôlable échappant au contrôle du régime du chien Tebboune et de sa tyrannie. Ce dernier, qui a toujours utilisé les mercenaires du Polisario comme un outil pour faire chanter toute la région, se retrouve soudainement confronté à cette entité monstrueuse qui a commencé à mordre la main qui l’a nourrie pendant des décennies.
Les sources juridiques et médiatiques ont confirmé que les affrontements ont eu lieu à la suite de conflits concernant la répartition des « butins » de l’aide internationale que le Front Polisario utilise à des fins commerciales. Cependant, la situation a rapidement dégénéré en affrontements violents, nécessitant l’intervention de l’armée nationale, qui se trouve maintenant dans une position embarrassante face à la détérioration de la situation sécuritaire à Tindouf.
En tant qu’écrivain et analyste politique des conditions dans le pays, je n’ai pas trouvé de description plus précise de la situation catastrophique dans la patrie que de dire : « Celui qui sème le chaos et la destruction ne récolte que la rébellion et la discorde, et la discorde est pire que le meurtre. » J’affirme que ces affrontements n’étaient qu’une question de temps, car les experts ont toujours mis en garde contre le fait que le Polisario est une bombe à retardement au sein de notre nation, et aujourd’hui, elle a explosé au visage du régime de la bande.
L’armée nationale, habituée à opprimer le peuple misérable et à bâillonner les citoyens ordinaires, se retrouve aujourd’hui face à une bande féroce qui ne reconnaît aucune autorité autre que son propre intérêt. Cela place la bande dans une impasse historique. La vérité est que ce qui s’est passé n’est que le début de la chute du régime du tyran, qui a joué avec le feu sans réaliser qu’un incendie s’était déclaré au cœur de notre pays, et que sa fin imminente pourrait bien venir de Tindouf avant tout autre endroit.