La discussion sur le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), communément appelé SIDA, est aujourd’hui plus que nécessaire en raison de la propagation importante du nombre de porteurs de ce virus. Cette situation est attribuable à un manque de sensibilisation, en particulier à une faible culture sexuelle parmi les jeunes, ainsi qu’à la prolifération du phénomène de l’homosexualité parmi les hommes et les femmes. Ce constat a été confirmé par les déclarations de plusieurs experts et spécialistes, qui ont souligné que les chiffres des infections par ce virus augmentent de manière alarmante, bien que ce sujet ne soit pas particulièrement mis en lumière et reste souvent occulté. Pourtant, il s’agit d’un problème réel qui menace la santé publique, notamment parmi les jeunes hommes et femmes, et même les mineurs qui ont une activité sexuelle importante. À cela s’ajoutent d’autres facteurs dangereux tout aussi importants, tels que la consommation de drogues et le manque général d’attention à l’hygiène médicale.
Les dernières statistiques nationales concernant les personnes porteuses du VIH font état de plus de 20 000 cas, des chiffres datant de 2023. Ce nombre a probablement augmenté, bien que certaines déclarations officielles affirment une stabilisation de la situation dans le cadre de la stratégie de lutte contre la maladie. Cependant, d’autres sources confirment une hausse récente de ce chiffre dans toutes les régions du pays, attribuant cette augmentation à plusieurs causes. Parmi celles-ci, l’absence de culture sexuelle chez les jeunes figure en tête, aggravée par les effets négatifs de la pandémie de COVID-19, qui a engendré une répression des désirs et une quête de satisfaction sexuelle, y compris entre hommes. Ces facteurs ont conduit les experts en santé à tirer la sonnette d’alarme, affirmant ouvertement que l’homosexualité est une voie inéluctable vers l’infection par le VIH et sa propagation parmi différentes catégories de la société en Algérie.
