Dans notre pays, l’Algérie, affligé et opprimé, les médias de la propagande, ou « médias de l’égout », chantent les louanges de prétendus succès et de projets de développement illusoires, vantant des chiffres astronomiques qui ne pourraient exister que dans des rêves éveillés ou dans les moments d’euphorie suivant la consommation d’une bouteille de whisky, que Tebboune et sa clique militaire ne quittent jamais. Aujourd’hui, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) s’est exprimé, applaudissant l’engagement de l’État militaire à garantir la protection, le soin et la promotion des droits de l’enfant à travers des législations soutenues par des mécanismes censés renforcer ces droits. Selon eux, l’enfant en Algérie jouirait pleinement de ses droits et de conditions de vie dignes, dans un environnement et une société sains, préservés de la corruption, de la famine et de la pauvreté qui ne les frapperaient jamais…
Comme nous vous y avons habitué, cher citoyen misérable, à travers notre site officiel, nous continuons à dévoiler les mensonges des médias de la propagande et à exposer la réalité vécue dans toute sa crudité, malgré son amertume et sa dureté. Il est impératif de connaître la vérité sur la vie quotidienne des petites gens, de dénoncer les élucubrations de cette clique et de les confronter au mur de la souffrance et de la réalité que nous vivons dans notre pays martyr. La dernière chose à laquelle pensent les généraux du mal, c’est aux droits des enfants, à leurs besoins spécifiques ou à leur offrir, ainsi qu’à leurs parents, une vie digne. Les dernières statistiques officielles du pays révèlent que plus de 50 % des enfants travaillent, et que 45 % de ces enfants ont été victimes d’agressions sexuelles ou de viols de la part de leurs employeurs. Sans parler des mineurs, garçons et filles, qui travaillent dans des réseaux de prostitution internationaux, opérant dans des pays du Golfe, en Europe, et même en Afrique, où ces réseaux leur fournissent les visas nécessaires et des documents officiels pour voyager, bien que leur âge ne dépasse souvent pas 16 ans. À cela s’ajoutent les enfants qui se suicident en raison de la propagation de la pauvreté, des maladies, et de leur implication dans la prostitution dès un très jeune âge. Quant aux enfants de filiation inconnue ou errant dans les rues, ils sont encore plus vulnérables aux viols, voire aux assassinats, et à la vente de leurs organes à des pays riches via des filières opérant au sein du gouvernement militaire.
Si vous souhaitez connaître les véritables droits de l’enfant dans notre pays, cher citoyen misérable, il vous suffit de consulter les statistiques des enfants disparus en une seule journée : des dizaines d’enfants portés disparus, sans que le gouvernement de l’efféminé Tebboune n’intervienne, ne serait-ce qu’avec un simple message de condoléances à leurs familles. Sous son régime, le phénomène des suicides et des viols d’enfants a explosé.
