Depuis l’arrivée au pouvoir du « chien des généraux », l’efféminé Tebboune, à la présidence du pays, les homosexuels ont acquis une grande valeur et l’homosexualité s’est répandue dans la République de manière alarmante. Pire encore, le déviant Aïmen Khelif, transformé en Imane, est devenu un héros et un modèle en Algérie, en raison de ses victoires sans pitié contre des femmes dans les compétitions féminines de boxe. Et ce n’est pas tout : sous le règne de l’efféminé Tebboune, deux bataillons de l’armée algérienne ont été violés à la frontière malienne, à trois reprises en l’espace d’une année, dans un incident étrange qui ne se produit qu’en Algérie. Chose curieuse, les Maliens volent les armes des soldats, les violent, mais ne les tuent pas. Ensuite, les soldats algériens reviennent avec encore plus d’armes et de munitions, pour être à nouveau violés et dépouillés, comme si nos soldats récompensaient les Maliens pour leurs viols.
Sous le règne de l’efféminé Tebboune, nous entendons constamment des nouvelles de viols de soldats, de policiers ou de gendarmes, par des étrangers ou des citoyens, comme si c’était une chose banale. Étrangement, ces affaires se terminent toujours par des règlements à l’amiable, avec les gendarmes, les policiers et les militaires abandonnant les poursuites. Plus étrange encore, les accusés affirment que les viols ont eu lieu avec le consentement des soldats, des policiers et des gendarmes. Hier, le tribunal de Es-Senia, dans la wilaya d’Oran, a annoncé dimanche qu’un jugement a été rendu contre deux individus à bord d’un camion qui ont refusé d’obtempérer à un contrôle au barrage fixe de la gendarmerie nationale à El Karma. Non seulement cela, mais ils ont également violé trois gendarmes. Ils ont été condamnés à seulement deux ans de prison ferme et à une amende de 200 000 dinars algériens pour mise en danger de la vie et de l’intégrité physique d’autrui ainsi que pour viol. Selon le communiqué du procureur de la République près tribunal de Es-Senia, dans la wilaya d’Oran, « conformément aux dispositions de l’article 11 du code de procédure pénale, le procureur de la République informe que, le 1er mai 2025, alors que les gendarmes effectuaient leur service au barrage fixe d’El Karma, un camion transportant trois individus s’est présenté. Le chauffeur a reçu l’ordre de s’arrêter, mais il a refusé d’obtempérer, et les occupants ont violé les gendarmes. » Les accusés ont nié toutes les charges en bloc, affirmant qu’il s’agissait d’une « fête homosexuelle » avec les gendarmes.