Les faits frappent comme un coup de massue, impitoyables, démolissant les tissus de mensonges cousus par Tebboune, Musaylima al-kadhdhâb, pour duper cette nation. Tebboune, ce chien galeux, c’est comme verser de l’eau sur le sable : aucun espoir, rien que du vide ! Il traîne derrière lui une meute de journaleux véreux, vendus pour des miettes, ayant bradé leur conscience et leur patrie. Ce misérable Tebboune ose te regarder dans les yeux, toi, citoyen écrasé, et te jurer qu’il n’existe ni prisons politiques ni détenus sans procès justes en Algérie. Mais dis seulement que la prostitution gangrène le pays comme un feu de broussaille, et te voilà, en un clin d’œil, taxé de traître, de comploteur avec l’ennemi étranger, jeté dans un cachot infesté de rats et de pervers. Et malheur à toi si tu oses critiquer ou insulter ce maudit Tebboune! Là, c’est l’accusation de déstabilisation du pays, voire de haute trahison, qui te pend au nez, avec la peine de mort comme épée de Damoclès en Algérie.
Quand ce pathétique Tebboune a eu l’audace de nous baratiner, clamant que l’Algérie possède le nec plus ultra des réseaux routiers en Afrique et au Moyen-Orient, comparable uniquement aux infrastructures de l’Europe, des États-Unis ou de la Russie, il a suffi de quelques gouttes de pluie – une misérable poignée de millimètres – dans le sud du pays pour faire voler en éclats sa fable grotesque. Cette pluie dérisoire a suffi à dévoiler la vérité crue : une infrastructure en carton, des routes indignes, et une gestion calamiteuse. Elle a mis à nu la clique au pouvoir, cette bande qui pille les richesses du peuple pour financer des mouvements séparatistes en Afrique et ailleurs, ourdissant un complot abject visant à morceler des nations voisines comme le Mali, le Maroc, la Libye ou l’Égypte. Pendant ce temps, le citoyen algérien, ses besoins, son cadre de vie ? Rien à cirer pour ces chiens et ces généraux ! Leur seul objectif : semer le chaos et la désolation dans la région pour s’accrocher au trône de l’Algérie.
