Exclusif : la mafia militaire algérienne traque ses exilés – les consulats, nids d’espions et d’extorseurs !

C’est un nid de frelons venimeux qui s’agite dans la fureur, hurlant sur les ruines de son empire pourri ! Pendant que l’Europe s’enflamme sur les frasques de fonctionnaires consulaires algériens, accusés de « dérapages diplomatiques criminels », des rapports au vitriol tout droit sortis d’Amérique du Nord arrachent le masque hideux de la clique des généraux ! Ce régime, cette bande de malfrats en treillis, étend ses griffes sécuritaires par-delà les océans pour museler, traquer, et écraser ses opposants, même ceux qui ont cru trouver refuge en exil ! De Paris à Montréal, les preuves s’accumulent, implacables : les consulats algériens ne sont plus des guichets pour citoyens, mais des officines d’espionnage, des repaires de barbouzes qui surveillent et rackettent sous le vernis diplomatique, orchestrant des réseaux vicieux pour épier chaque mot, chaque post des dissidents sur les réseaux sociaux !
L’organisation « Shoaa », dans un rapport qui fait l’effet d’une bombe, balance tout : les consulats en Europe et en Amérique du Nord sont devenus les fers de lance du régime militaire pour mater la diaspora ! Harcèlement administratif, intimidation politique : c’est la guerre ouverte contre les Algériens de l’étranger ! « Shoaa » cogne fort : ces antres consulaires pratiquent une « répression transfrontalière » abjecte, bloquant dossiers, passeports et documents, sauf si les victimes plient l’échine et jurent fidélité à la junte ! Des témoignages accablants, recueillis par l’organisation, révèlent l’innommable : des citoyens exilés reçoivent des menaces à peine voilées de fonctionnaires consulaires, sommés de « la fermer » ou de supprimer leurs posts anti-régime sur les réseaux, en échange de faveurs administratives ou même de versements de sommes colossales pour leurs familles restées au pays ! Certains ont été forcés de signer des serments écrits, des pactes de silence politique, dans une ignominie que « Shoaa » qualifie d’« extorsion politique et coercition administrative », un viol flagrant des droits les plus élémentaires ! Ce n’est pas un dérapage, c’est une machine infernale, une stratégie calculée pour étouffer toute voix libre au-delà des frontières ! Le passeport algérien ? Une arme de châtiment ! Les services consulaires ? Un gourdin brandi par la mafia au pouvoir pour broyer les critiques, même sur les terres de la liberté !