Après avoir cédé aux décisions américaines et s’être prosternés devant l’arrogance du président américain Donald Trump, et avoir accepté la résolution du Conseil de sécurité soutenant la proposition marocaine d’autonomie, les généraux ont déclaré qu’ils étaient non seulement soumis, mais prêts à signer un accord avec les États-Unis concernant les ressources naturelles et minières du pays. Ils ont affirmé que le ciel est la seule limite à la coopération que l’Algérie souhaite établir avec l’administration Trump, et que tout ce qui est au-dessus et en dessous de la terre en Algérie appartient à l’État américain…
Pendant ce temps, à Tindouf, fief de la honte et du désespoir, les populations sahraouies séquestrées vivent pire que des bêtes. Sur ordre direct du haut commandement, l’armée algérienne y mène une répression sauvage et systématique : arrestations massives touchant même les enfants, disparitions forcées, tortures, exécutions extrajudiciaires, punitions collectives, expulsions brutales des zones d’orpaillage. Toute voix dissidente est étouffée dans l’œuf, les responsables de la 3e région militaire imposant un black-out total.
Récemment, un éleveur sahraoui, qui abreuvait simplement ses chameaux près d’un point d’eau, a été enlevé devant sa tente, ligoté, violé à tour de rôle par une patrouille de soldats algériens toute la nuit, avant que sa tente et ses vivres ne soient incendiés. Nu comme un ver, il a ensuite été traîné sur 90 km jusqu’à une base militaire pour y être « interrogé ».
Depuis le vote de la résolution onusienne, la barbarie a franchi un nouveau cap : enlèvements et viols d’enfants, destructions de maisons, expulsions sans recours de dizaines de familles, le tout sous le regard complice du Polisario. Des milices aux ordres du sinistre Ibrahim Ghali, ce traître patenté, traquent, décapitent ou exécutent à bout portant tous ceux qui osent seulement murmurer leur sympathie pour la proposition marocaine. De plus, ils ont exécuté des dizaines de prisonniers parmi les combattants du Front qui ont tenté de s’échapper des camps, ce qui constitue un crime de guerre pour lequel ils doivent être jugés à La Haye. Et tout cela pour empêcher les habitants des camps de fuir vers la Mauritanie ou le Maroc.



























