La fuite de capitaux vers la voisine Tunisie est devenue malheureusement une action nationale habituelle, pratiquer chaque été par certains agences de voyages effectuant des transferts illicites de capitaux vers l’étranger en profitant des lacunes de la loi de finances qui ne comprend que les personnes physiques
En effet L’article 72 de la loi de finances de 2016 stipule que tout Algérien peut émettre un millier d’euros ou l’équivalent d’autres devises, en négligeant les transferts de devises par les personnes morales tels les agences de voyages qui disent qu’elles doivent augmenter ce montant et même le doubler pour payer les cotisations de réservations d’hôtels.
Ce qui constitue une menace réelle pour l’économie algérienne, où des chiffres non officiels indiquent que la taille de la masse monétaire passée en contrebande chaque année uniquement par des agences de voyages est près de 500 Millions d’euros, loin des opérations contrecarrées par les services de surveillance et antifraude de la direction des douanes.
Des rapports de la direction douanières souligne la tendance de certains voyageurs algériens à des méthodes bizarres et déraisonnables pour la contrebande de devises difficile à les imaginer, en faisant dissimuler d’importantes quantités d’argent dans l’estomac du contrebandier ou dans la lotion pour les cheveux, et même dans les vêtements pour bébés etc.
Tandis que, la nouvelle tendance est l’achat du dinar tunisien, qui est loin de la surveillance des douanes, et le convertir en monnaie forte, dès l’entrée en Tunisie.
En effet, la monnaie tunisienne a dépassé les limites de l’offre sur le marché noir algérien malgré la hausse de sa valeur par rapport au DZ, où cette semaine le prix de 100 dinars tunisiens est à 6300 DZ sur le marché parallèle alors qu’il n’était qu’à 5800 DZ.
Aujourd’hui le dinar tunisien est négociable sur le marché local de la monnaie à Oran après qu’il était limité sur les marchés des villes de l’est de la Tunisie, comme Annaba et Tabessa, ainsi que dans la wilaya de Sétif en raison de la forte demande par les voyageurs algériens vers la Tunisie pour cette période de l’année
Plusieurs experts s’interrogent sur les raisons et les motivations de l’aggravation du phénomène de la contrebande de devises en dépit de l’approbation des procédures spéciales de la Banque d’Algérie visant à faciliter l’ouverture de comptes bancaires en devises fortes et à atténuer le bénéfice des épargnants pour les retraits et dépôts et la conversion en devises fortes à l’étranger.
En fait, les banques algériennes sont incapables à gagner la confiance des clients, qui préfèrent encore économiser leur argent chez eux au lieu de les placer dans des banques publiques, puisqu’ils considèrent que le fait de les laisser dans des institutions financières « constitue un risque ».
Rapport: comment le dinar tunisien et le tourisme en Tunisie détruisent l’économie Algérien
La fuite de capitaux vers la voisine Tunisie est devenue malheureusement une action nationale habituelle, pratiquer chaque été par certains agences de voyages effectuant des transferts illicites de capitaux vers l’étranger en profitant des lacunes de la loi de finances qui ne comprend que les personnes physiques
En effet L’article 72 de la loi de finances de 2016 stipule que tout Algérien peut émettre un millier d’euros ou l’équivalent d’autres devises, en négligeant les transferts de devises par les personnes morales tels les agences de voyages qui disent qu’elles doivent augmenter ce montant et même le doubler pour payer les cotisations de réservations d’hôtels.
Ce qui constitue une menace réelle pour l’économie algérienne, où des chiffres non officiels indiquent que la taille de la masse monétaire passée en contrebande chaque année uniquement par des agences de voyages est près de 500 Millions d’euros, loin des opérations contrecarrées par les services de surveillance et antifraude de la direction des douanes.
Des rapports de la direction douanières souligne la tendance de certains voyageurs algériens à des méthodes bizarres et déraisonnables pour la contrebande de devises difficile à les imaginer, en faisant dissimuler d’importantes quantités d’argent dans l’estomac du contrebandier ou dans la lotion pour les cheveux, et même dans les vêtements pour bébés etc.
Tandis que, la nouvelle tendance est l’achat du dinar tunisien, qui est loin de la surveillance des douanes, et le convertir en monnaie forte, dès l’entrée en Tunisie.
En effet, la monnaie tunisienne a dépassé les limites de l’offre sur le marché noir algérien malgré la hausse de sa valeur par rapport au DZ, où cette semaine le prix de 100 dinars tunisiens est à 6300 DZ sur le marché parallèle alors qu’il n’était qu’à 5800 DZ.
Aujourd’hui le dinar tunisien est négociable sur le marché local de la monnaie à Oran après qu’il était limité sur les marchés des villes de l’est de la Tunisie, comme Annaba et Tabessa, ainsi que dans la wilaya de Sétif en raison de la forte demande par les voyageurs algériens vers la Tunisie pour cette période de l’année
Plusieurs experts s’interrogent sur les raisons et les motivations de l’aggravation du phénomène de la contrebande de devises en dépit de l’approbation des procédures spéciales de la Banque d’Algérie visant à faciliter l’ouverture de comptes bancaires en devises fortes et à atténuer le bénéfice des épargnants pour les retraits et dépôts et la conversion en devises fortes à l’étranger.
En fait, les banques algériennes sont incapables à gagner la confiance des clients, qui préfèrent encore économiser leur argent chez eux au lieu de les placer dans des banques publiques, puisqu’ils considèrent que le fait de les laisser dans des institutions financières « constitue un risque ».