Le parti Front de libération nationale (FLN) a mis en valeur , hier lundi dans un communiqué, le contenu du message du Chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, adressé à l’occasion de la célébration de la journée nationale du Chahid (20 aout 1956),soulignant que « le dialogue national inclusif et sans exclusion constituait la voie la plus sûre pour rassembler l’ensemble des parties autour d’une seule table afin de sortir de la crise que traverse la pays », selon l’APS
Dans un communiqué rendu public hier lundi, Le FLN a renouvelé son entière disposition à adhérer au processus du dialogue sérieux et responsable sans perdre davantage de temps et ce afin de surpasser la conjoncture actuelle et de mettre en place les conditions nécessaires pour l’élection d’un président de la République de façon transparente et intègre dans les plus brefs délais »,
Le même document précise que « Le FLN partage les mêmes craintes exprimées dans le message du chef de l’Etat concernant la persistance de la crise actuelle et ses répercussions socioéconomiques qui étaient au cœur d’une rencontre nationale organisée par les cadres du parti le 7 aout courant »
Le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah a adressé le lundi, à l’occasion de la commémoration de la Journée nationale du Moudjahid (20 août 1956) un message, dans lequel il a renouvelé son appel à toutes les bonnes volontés parmi les forces politiques, les acteurs de la société civile et les personnalités nationales à contribuer à la réunion des conditions appropriées et à faire avancer le processus de dialogue pour atteindre rapidement ses objectifs »
A ce propos , Mr abdelkader Bensalah indique que « ce dialogue national est sérieux, élargi et sans exclusion en tant que voie garantissant au peuple algérien le droit de choisir le président de la République, le plus rapidement possible, une fois instaurée la confiance en les mécanismes assurant la régularité et la transparence de l’élection présidentielle ».
Rappelons que le panel de Dialogue et de Médiation a fait le choix de ne pas associer les partis de l’ex-coalition présidentielle au dialogue motivant la démarche par un souci d’être en phase avec le Mouvement populaire qui réclame, pour sa part, leur dissolution pur et simple.