Notre pays est en train de mourir mais la presse des généraux nous casse la tête avec les histoires du président fantoche tel que « Tebboune reçoit un haut responsable libyen », « le ministre saoudien des Affaires étrangères embrasse Tebboune » et « Erdogan s’isole avec Tebboune au Palais d’El Mouradia»- vous savez déjà ce que cela veut dire-, tandis que les conditions en Algérie sont plus troublantes que jamais, surtout pendant cette période où Surtout dans cette période où Les généraux ont violé la démocratie au nom du jeu de l’élection présidentielle.
La situation dans notre pays est près à s’exploser à n’importe quel moment, au même degré que l’économie est mourante à tel point que la question ne se pose plus sur va-elle mourir ? Mais quand mourra-t-elle? …
Le gouvernement lui-même a reconnu que la situation financière et économique est très fragile et liée au marché mondial du pétrole et que la dette publique intérieure a atteint 50%.
Alors que les experts internationaux ont mis en garde contre une inflation élevée en Algérie, comme au Venezuela, et l’économie algérienne va s’effondrer fin 2020 si le gouvernement continue de ne pas chercher de solutions viables et capables à faire avancer ce qu’il considérait comme un « vrai dilemme » qui mènera finalement l’Algérie à une deuxième guerre civile (une nouvelle décennie noire).
Cela est dû à l’oppression du peuple et au vol les biens du pays par les généraux et à diverses augmentations d’impôts et de taxes à la lumière des conditions économiques et de vie difficiles que traverse le citoyen afin que le gouvernement supporte tous ces nouveaux fardeaux malgré le fait que 40% de la classe fragile en Algérie, estimée à 14 millions, souffre d’une grande pénurie alimentaire. Et les médicaments au milieu d’un important blackout du gouvernement.