Tout le monde dans notre pays a remarqué le grand soutien et l’intérêt accordés à la flatterie (la chita) et à l’hypocrisie, tandis que les sites de médias électroniques qui font des critiques tels que notre site sont réprimés qui est une chose normale. Car les journalistes indépendants ont peur d’être réprimé par ce régime dictateur, en particulier ceux qui s’opposent à ce régime militaire des généraux corrompus. même si nous comparons notre situation avec les pays qui respirent la démocratie et où les citoyens ont des droits de citoyenneté et respect des droits de l’homme, dans lesquels la liberté de la presse est un pilier essentiel de la véritable démocratie.
Cependant, en Algérie, la presse et les médias ne sont depuis des décennies que de simples trompettes qui promeuvent les tendances gouvernementales successives depuis la fondation de l’État jusqu’à nos jours.
Certes, les Algériens se sont réjouis, en particulier les défenseurs de la presse et des médias libres, après les vents de changement fictifs qui ont soufflé sur le pays après les manifestations de février 2019 et le Hirak. Et ont été prêts à jouer le rôle souhaité en fournissant une base de connaissances des événements et en les présentant au public comme une matière objective qui répond aux désirs de toutes les catégories de la société en Algérie.
La presse et les journalises ont rapidement été confrontés à de violentes tentatives sous l’influence de la violence et de la répression qui ont frappé toute l’Algérie au cours des deux dernières décennies. Où des dizaines de journalistes ont été tués, blessés, kidnappés, torturés et menacés, le dernier d’entre eux était le martyr des journalistes algériens, Mohamed Tamalt, qu’on estime que son assassinat était un message clair pour la presse nationale visant à jeter la terreur dans le cœur des journalistes qui n’ont peur de personne et de rien.
Ce qui a aggravé les choses, c’est que les restrictions des lois d’urgence dans le pays et les restrictions qui en résultent à la liberté de la presse et les transgressions odieuses des journalistes et des institutions des médias sous prétexte de mesures de sécurité ont pris des subventions qui ne peuvent être tolérées à la lumière de la répétition de ces abus humiliants tels que les insultes, les arrestations arbitraires et les menaces de mort. Comme si celui qui voulait photographier un événement et le transmettre à l’opinion publique va révéler un secret que les parties prenantes ne veulent pas révéler !!
Ce qui est pire, c’est l’émergence du phénomène du recours à l’intimidation des journalistes par les partis politiques, de sorte que la sécurité est devenue subordonnée à éviter une telle tendance et à tolérer un tel sujet comme compliment ou soumis à une certaine autorité au détriment de la liberté d’opinion, de l’impartialité et de l’objectivité.
Aujourd’hui, la presse algérienne traverse une grande impasse et un carrefour qui peut conduire à la constance et se lancer dans le contexte de la force morale que le journaliste algérien a acquise au cours des années noires qui se sont écoulées, tout comme l’autre jonction peut conduire à l’abîme sous l’influence de la politique de museler la bouche et de tenter de faire un journaliste spécialisé dans la flatterie des généraux.