Soyons honnêtes avec nous-mêmes, tant que les corrompus, les opportunistes et les hypocrites sont à la tête du pouvoir, il est difficile de parler de la réforme et du changement.
Pour ne pas être idéaliste, La politique, par sa nature, est l’art des manœuvres et des mensonges et parfois même la dualité, mais dans le cas de notre pauvre pays l’Algérie, les politiciens dépassent tout ce qui est universellement permis dans la politique. Ils se présentent sous les habits de moines, et jouent le rôle de conseillers et de lutteurs contre la corruption, pour tromper le people. Certains parmi eux présentent même des théories en politique et demandent la purification et la transparence alors que leurs accès aux postes exécutifs ou législatifs signifient la perte de toute chance à réaliser le changement.
En Algérie, dans un monde où règne le combat du pouvoir, il est difficilement possible de trouver un homme de responsabilité, un général, un ministre, un député publique actuel corrompu et qui parle avec franchise, sauf s’il est un ex-responsable qui a perdu son poste de responsabilité.
La majorité entre eux font l’impossible pour convaincre la population de leurs bonne foi et qu’ils sont les hommes qui’ il faut.
Vous ne trouverez jamais un corrompu qui donnerais des justificatifs à sa corruption, ni un voleur qui prétend que le vol est une chose répugnante ou un opportuniste exaltant l’opportunisme, mais les corrompus et les hypocrites sont les plus capables parfois de critiquer la corruption et de demander un nettoyage.
Par exemple Gaïd salah et des généraux de notre armé nous parlent toujours de pureté et d’honneur alors qu’ils sont eux même des corrompus.
«Méfiez-vous des corrompus qui parlent beaucoup de la lutte contre la corruption».
De nombreuses guerres que nous voyons aujourd’hui sur les télévisions ou sur les réseaux sociaux, sont dans leur apparence pour protéger notre nation alors qu’elles visent en réalité, de continuer à voler les richesses de notre pays et de partager le gâteau.