Avec l’indépendance de l’Algérie et le début de la formation de l’armée populaire, la résistance a introduit des sanctions pour l’imposer aux soldats qui étaient avec la France et se sont repentis et ont rejoint l’armée nationale dans le cas où qu’ils ont été pris en train de pratiquer l’obscénité au sein de l’armée afin que les officiers soient emprisonnés pendant deux mois et dégradés s’ils pratiquaient la sodomie. Quant aux nouveaux entrants, leur peine était de 15 jours d’emprisonnement et d’expulsion en cas d’indignation.
Selon le colonel à la retraite (M.N.), 84 ans, la pratique de la sodomie au sein l’armée algérienne après l’indépendance est due à la propagation de la syphilis chez les femmes au cours de cette période à cause des dizaines de milliers de bordels laissés par le colonisateur, ce qui a poussé les soldats à la sodomie pour éviter cette maladie.
Ce qui aurait affaibli l’armée, mais le grand scandale de cette pratique a eu lieu dans la bataille d’Amgala lorsque l’Algérie a perdu un bataillon spécial d’élite. Ainsi, le commandant de la troisième région militaire, le général Mostefa Belloucif, envoie un rapport détaillé qui précise que « pendant que l’armée marocaine se préparait à l’attaque, le commandant du bataillon, le colonel Gaid Saleh, et avec lui le lieutenant-colonel Saïd Chengriha qui avait des rapports sexuels et faisaient l’amour ainsi les soldats étaient dans un état de relaxation et de fatigue, de sorte que l’ennemi les a surpris de tous les côtés, et cette grande perte aurait pu être évitée si le colonel Gaid Saleh avait ordonné aux soldats de confronter l’ennemie. Mais il leur a ordonné de couvrir son évasion avec le lieutenant-colonel Chengriha et quelques soldats du champ de bataille, ce qui a provoqué un véritable massacre ».
Ainsi, Houari Boumédiène est devenu fou de rage et à prononcer son célèbre discours : « Le grand problème de l’Algérie n’est pas un problème financier ou économique, ni l’austérité ni la crise du logement, mais nous avons une crise d’hommes, c’est pour cela ce pays est permis depuis des siècles ».
Après ce scandale, le colonel Saleh, ainsi que le lieutenant-colonel Chengriha, ont été expulsés, mais des généraux français ont intervenu pour les faire retourner dans l’armée algérienne, mais Boumediene a stipulé qu’ils devaient être envoyés en Russie pour devenir des vrais hommes, de sorte que l’on sait que dans l’armée russe déteste les homosexuels.
Mais après la mort de Houari Boumédiène et des conflits pour le pouvoir ont éclaté, les deux gays sont revenus de la Russie ainsi Gaid Saleh et Chengriha, avec le soutien de la Russie, sont montés en puissance pour atteindre le sommet. Afin de remercier la Russie, Gaid Saleh a conclu des contrats d’armement d’une valeur de 230 milliards de dollars pendant son mandat de chef d’état-major, dont la plupart étaient des accords en noir.
De plus, la sodomie et l’homosexualité dans nos casernes est devenue chose courante. Et la région la plus connue par la sodomie est une chose sacrée imposée au soldat, est la région militaire III qui était sous le commandement du général Chengriha.
De sorte qu’à ce jour, les soldats refusent d’y servir, alors que le général Chengriha a refusé pendant une décennie de son transfert de cette région militaire, et cela a surpris tout le monde.
En effet, les villes de Béchar et de Tindouf sont arides et ennuyeuses, et provoquent des nausées pour tous ceux qui y travaillent, selon le colonel à la retraite (MN) de 84 ans.
Mais, selon notre source, Chengriha a eu une relation sexuelle avec l’un des dirigeants du Polisario, Mohamed Lamine Ould Bouhali. De sorte que les deux amoureux se rencontrent à chaque fois qu’ils voulaient pratiquer la sodomie dans un appartement à Béchar.
Et quand leur relation a commencé à être découverte, la femme de Chengriha est intervenue, craignant que son mari ne tombe dans un scandale et que ses projets ne soient abandonnés.
Elle a donc demandé à Noureddine Bedoui de faire la médiation pour que Chengriha reçoive la promotion de grade parce qu’il souffrait d’une période d’impasse depuis 15 ans, puisqu’il a été exilé à la troisième région militaire, ainsi la promotion de grade est venue de l’intérieur de la chambre de Gaid Saleh. Ainsi, la relation entre le général Chengriha et le dirigeant au Polisario, Mohamed Lamine Ould Bouhali, a été rompue, ce qui a fait perdre à ce dernier ses pouvoirs au sein du gouvernement du Polisario.
Mais après l’arrivée au pouvoir de Chengriha en Algérie et sa récente rencontre avec Mohamed Lamine Ould Bouhali, dans l’ancien l’appartement, Chengriha a promis Mohamed Lamine Ould Bouhali de faire de lui le chef du Polisario et qu’il doublerait le montant de l’aide que l’Algérie accorde au Polisario (lait, viande et semoule). Oui, messieurs, 40 ans se sont écoulés depuis la mort de Boumédiène mais la grande crise algérienne reste une crise d’hommes…