Après l’arrestation de moudjahid Lakhdar Bourgaa dans un dangereux précédent dans l’histoire de l’Algérie indépendante et une grave déviation du mouvement populaire accusée d’étranges charges « l’humiliation d’un corps constitué » et « participation à l’affaiblissement du moral de l’ANP », les rapports internationaux ont confirmé l’absence de liberté d’expression en Algérie et que des militants libéraux et islamistes étaient emprisonnés et subissent de graves répressions.
En effet, le système recourt souvent à de mauvaises tactiques pour réprimer les dissidents.
Selon les informations fournies, les services de sécurité ont mis à jour leurs dispositifs de surveillance pour inclure la surveillance des sites de réseaux sociaux et des applications mobiles.
Des cas d’abus généralisés à l’encontre de citoyens algériens, notamment un recours excessif à la force, l’absence de procédures judiciaires et des libertés civiles, ont également été rapportés.
Selon les intellectuels et les hommes politiques, l’état actuel où Ahmed Gaid Salah détient le pouvoir la situation est devenu plus pire que celle de Bouteflika.
En effet, le chef d’état-major a détruit l’avenir en Algérie parce que sa persistance dans la répression des libéraux et de notre peuple algérien est un crime qui sert les intérêts de nos ennemis et nous appelons donc le peuple libre d’Algérie à continuer de manifester dans tout le pays, face au système de généraux et de services de sécurité.
En fait, la répression brutale de notre peuple par les forces de sécurité et l’emprisonnement des militants constituent une grave escalade qui exige d’infliger un châtiment pour mettre fin à la série de répression des libertés et de faire taire les voix en Algérie.
Nous appelons les libres à protester contre les services de sécurité en tenant comme responsable ceux qui ont commis des crimes contre notre peuple. Nous dénonçons fermement la répression des manifestants qui ont refusé de maintenir le régime oppressif.