La mort éventuelle du chien des généraux, Tebboune, a poussé de nombreux chercheurs sur les sujets algériens à estimer que les récents mouvements du général Chengriha et les discours qu’il prononçait de temps en temps allaient au-delà de toutes les chartes et protocoles convenus en Algérie, ce qui prouve que Chengriha croit en l’État militaire et ne croit pas à la démocratie et aux solutions politiques comme méthode gouverner, et refuse toutes les solutions qui conduisent vers un État civil garantissant les droits de tout les citoyens en Algérie …
Tout les algériens sont d’accord que la nouvelle politique de Chengriha est de jouer avec les cartes des conflits régionaux, notamment aux frontières avec la Libye et le Maroc et le Mali pour la distraction du peuple algérien et éliminé tous les concurrents. Soit il s’impose politiquement et militairement à tout le monde, soit il va faire une grande chute devant ses esclaves aux doigts bleus.
En fait, ce qui a poussé Chengriha à jouer ses dernières cartes est la préoccupation des parties qui le soutiennent par les crises internes et la crise de Coronavirus ainsi que le dossier du Yémen lié aux EAU. En plus de la crise financière qui a frappé Abu Dhabi. L’Afrique du Sud est également confrontée au risque d’une crise économique.
En outre, l’accord turc avec le gouvernement d’accord national a changé l’équilibre militaire en faveur des autorités de Tripoli et les bonnes relations de Tebboune avec la Turquie. Ce qui a fait rage aux Émirats arabes unis et les partis politiques fidèles à Chengriha, ce qui fait jeter Tebboune à la poubelle de l’histoire et l’intronisation de Chengriha comme nouveau Al-sissi en Algérie.