Le système de généraux dirigé par Chengriha vit actuellement ses jours les plus difficiles depuis sa prise de pouvoir en Algérie, en raison de l’insouciance des décisions du vieux général dans la direction de la politique étrangère de l’Algérie, à cause de ses décisions qui sont emportées par des caprices sexuels et ses relations suspectes avec les dirigeants du Polisario depuis Abdelaziz El Marrakchi à Ould Bouhali.
En effet, l’Algérie connait actuellement des crises étouffantes, sur le plan économique, tel que la baisse des réserves monétaires étrangères, la hausse des prix, la baisse des services sociaux, la suppression des subventions aux pauvres et le refus du peuple à participer à la mascarade de la nouvelle constitution des généraux.
Puis vint le désastre du Polisario poussé à entrer en guerre avec le Maroc pour mettre les généraux dans le vent, au milieu de vives critiques sur le passage d’EL Guerguerat, ce qui conduisit à une pénurie de légumes et de fruits pour les pays d’Afrique de l’Ouest …
En réaction rapide à cet incident, un certain nombre de pays étrangers et arabes ont décidé de s’aligner derrière les décisions du Maroc, qui est la même position que la Grande-Bretagne et les États-Unis en particulier. Ainsi, l’Algérie a fini par vivre dans une atmosphère d’embargo politique international qui semble être abandonnée par ses alliés et partisans les plus importants et les plus en vue de Chengriha, comme les Émirats et l’Égypte.
En outre, immédiatement avant la position émiratie, Chengriha a reçu une gifle assez forte de la part de la France suite à la décision de cette dernière de se tenir aux côtés (de ses intérêts) du Maroc.
Chengriha a été exposé à une grande gêne, notamment avec l’annonce de cette décision lors de la visite de sa délégation à Paris au début de la crise.
En plus, les pays européens et du Golfe ont également recouru au soutien du Maroc, tandis que certains pays ont mis en garde contre le soutien du Polisario et le déclenchement d’une guerre dans la région.
À cet égard, un ancien diplomate (JM) affirme que les décisions successives de certains pays de se tenir aux côtés du Maroc sont quelque chose qui ne peut être traité que diplomatiquement, soulignant que le ministère des Affaires étrangères ne sera pas toujours en mesure de résoudre les crises que le régime des généraux fait à l’étranger d’autant que les médias occidentaux ne manquent pas que l’Algérie, après le problème du passage d’El Guerguerat, traverse une sorte d’isolement temporaire, qui en même temps nuit à son économie. Et le plus dangereux est que cela nuit gravement aux investissements étrangers, en particulier dans le Golfe.
Le diplomate souligne également que si une seule catastrophe frappe l’Algérie dans un proche avenir, l’Algérie reculera de plusieurs décennies sur l’échelle du développement et, par conséquent, le récent isolement international a aggravé la crise en Algérie.