Il y a exactement un an, dans un article publié par aljazayr.com version arabe, intitulé « Bye bye Ahmed Ouyahia, et bienvenue Noureddine Bedoui », nous avons déclaré qu’il existait un grand conflit entre le général Gaid Saleh et le Premier ministre à cette époque, Ahmed Ouyahia. Et que Said Bouteflika, le frère du président et son conseiller spécial, était en entente harmonieuse avec général Gaid Saleh.
Nous avons souligné dans l’article que le pourvoir en Algérie était furieux contre Ahmed Ouyahia depuis le début de son occupation du poste de Premier ministre, car il n’y avait pas de réponse à ses demandes pour changer son personnel.
En outre de nombreuses sources ont également rapporté que les walis de la république évitaient les relations directes avec Ouyahi au cours de la dernière période, par une décision orale émanant des plus hautes autorités (Gaid Saleh).
En plus, le président Abdelaziz Bouteflika a désigné le pivot du gouvernement actuel et la soupape de sécurité des gouvernements successifs, ainsi que le ministre de l’Intérieur, à cette période, Noureddine Bedoui, à l’occasion de la fête de l’indépendance, pour réaliser plusieurs missions officielles alors que ces missions devront être faite par Ouyahia. Tout cela se passe en conjonction avec explosion de l’affaire de la cocaïne d’Oran et la tombée de nombreuses grosses têtes.
Nous vous dirons maintenant, comme nous l’avons dit un an avant la nomination de Noureddine Bedoui, le jeu des arrestations se terminera avec la fin des manifestations et les responsables actuellement détenus retourneront à leurs postes.