Avec silence international sur les violations de droits de l’Homme contre le citoyen algérien, le tribunal de Timimoun, wilaya d’Adrar, a condamné les militants politiques du sud, Yasser Kadiri, Saïd Zegar et Khelil Kheyi, à un an de prison dont six mois ferme et six mois avec sursis, selon un communiqué du Comité National pour la Libration des Détenus (CNLD).
Le communiqué du CNLD a indiqué également le tribunal de Reggane, dans la région d’Adrar (sud) avait condamné l’activiste Aksassi Elhassane à un an de prison dont six mois ferme.
Les personnes concernées ont été accusées d’offense au président de la République et diffusion de Fake News et le CNLD estime que se sont des fausses accusations…
Les autorités de répression algériennes poursuivent également leur politique arbitraire contre les détenus innocents dans les prisons.
En effet, les familles des détenus ayant signalé que leurs enfants étaient privés de leur droit à un traitement médical, exigeant des autorités concernées, en particulier l’administration pénitentiaire, de leur permettre leur droit à un traitement médical.
Les familles ont expliqué que leurs fils détenus avaient été sévèrement battus par les gardiens de prison après avoir été transférés à l’isolement pendant une semaine et se plaignent maintenant de graves douleurs au dos et aux jambes en raison des coups qu’ils ont subis, puisqu’ils ne peuvent pas s’asseoir ni bouger d’une façon normale.
En outre, 500 prisonniers d’opinion sont dans les prisons algériennes depuis le début des manifestations sont victimes de diverses violations, telles que la privation de médicaments et de traitement ainsi que de sommeil et confiscation de vêtements.
En outre, les prisonniers d’opinion souffrent de traitements arbitraires et de harcèlement subissent également des agressions de la part des gardes en leur retirant tous leurs besoins, y compris les livres, les cahiers, les stylos et les vêtements.
Alors que l’administration pénitentiaire continuait à restreindre les visites des familles des militants détenus, dans les prisons algériennes, souffraient de traitements sévères, tels que les empêcher de pratiquer des rites religieux, la mauvaise nourriture qui a provoqué plusieurs cas d’empoisonnement alimentaires parmi les détenus.