Les données recueillies ont montré que le nombre total d’infections du coronavirus dans le monde était proche de 94,5 millions dimanche matin, et les données ont montré que le nombre de personnes guéris dépassait 52 millions, tandis que le nombre total de décès dépassait 2 millions et 22 mille cas.
Les États-Unis sont en tête du monde en termes de nombre de cas de contaminations, suivis de l’Afrique du Sud, de l’Inde, du Brésil, de la Russie, du Royaume-Uni, de la France, de la Turquie, de l’Italie, de l’Espagne, de l’Allemagne, de la Colombie, de l’Argentine, du Mexique, de la Pologne et de l’Iran.
Les États-Unis sont également en tête du monde en termes de nombre de décès, suivis du Brésil, de l’Inde, du Mexique, du Royaume-Uni, de l’Italie et de la France.
Pfizer-BioNTech aont confirmé que le ralentissement de la distribution des doses de vaccins vers l’Europe n’est que temporaire. Hier, samedi, les laboratoires des deux sociétés ont tenté de rassurer les Européens, confirmant qu’ils avaient mis en place un «plan» qui permet de réduire le retard d’une semaine dans le processus de livraison, à la fois. Dans lequel l’Europe craint une baisse des doses délivrées à «3 ou 4 semaines».
Les deux sociétés ont déclaré dans un communiqué conjoint: « Elles ont élaboré un plan qui permet d’augmenter les capacités de fabrication en Europe et de fournir plus de vaccins au cours du deuxième trimestre ».
Ils ont confirmé que la raison du retard est la survenue de « modifications des mécanismes de production » dans l’usine belge de Puurs, qui permettront d’augmenter la capacité de livraison à partir du 15 février.
Et les deux sociétés ont annoncé vendredi qu’elles n’étaient pas en mesure de fournir la quantité de doses qu’elles s’étaient engagées à délivrer, ce qui a provoqué la colère des pays européens déjà critiqués pour le ralentissement du processus de vaccination.