Abderrazak Makri, le président du Mouvement de la société pour la paix algérien le plus grand parti islamique d’Algérie, a appelé les généraux et le président Abdel Majid Tebboune à prendre des mesures nécessaires pour le retour du calme dans le pays en commençant tout d’abord par « la libération de tous les prisonniers politiques et de donner à la justice le droit de dire son dernier mot en gardant son indépendance et son honneur loin des décisions politiques contradictoires et arrêter la manipulation des médias, ainsi que son impact sur l’opinion publique en utilisant l’agenda dicté par les généraux et les laisser jouer son rôle dans la société sans pression ou menace.
Concernant, les défis extérieurs auxquels l’Algérie est confrontée, Makri a déclaré que l’autorité doit améliorer l’atmosphère politique en sortant des cas de congestion mortelle et de polarisation nihiliste par le dialogue, en préservant l’identité commune des Algériens, en particulier l’appartenance religieuse et linguistique, et en ne l’exposant pas aux conflits politiques.
En ce qui concerne le vaccin Corona, Makri a déclaré, qu’il ne recommande aucun vaccin sur le marché international des vaccins, car il ne les connaît pas et ne fais pas de distinction entre les différents vaccins fabriqués par les pays étrangers et à précisé que les avis sont très contradictoires sur le sujet.
Et à propos du sujet qu’aucun responsables algérien n’a reçu le vaccin jusqu’a l’instant, il a déclaré que le gouvernement doit assumer sa responsabilité et son choix et cela oblige les responsables à commencer à se vacciner devant les médias pour l’exemple aux citoyens, afin d’éviter une tempête de méfiance et de confusion dès le début du déploiement du vaccin russe ou d’un autre.